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sur celle des deux Têtes qu’il apperçoit,
voit au nord de cette Tête, et sur la même
ligne y d’autres cimes de montagnes, il ne
peut se méprendre : c’est la Fausse-Tête
qui se montre à lui $ s’il n’apperçoit rien à
la partie septentrionale de la pointe, si dès
montagnes qu’il distingue elle est la dernière
au nord, c’est la Tête véritable. Car
la crouppe du Lion, qui en fait partie , est
très-peu élevée ; et quand on la voit, on ne
peut s’y méprendre. On sent bien que ceci
n’a lieu que pour les vaisseaux qui, arrivant
d Europe ou des Indes , se trouvent plus au
sud que l’entrée de la baie j ceux qui sont plus
au nord, ont une toute autre vue, et dans ce
cas,, il leur est impossible de voir la Fausse-
Tetejcar on doit alors appércevoir les montagnes
du Cap telles à-peu-près qu’elles sont représentées
ici,puisque j ’en ai pris la vue étant
sur 1 île Roben. Quant à l’autre vue, j e l’avois
également prise en arrivant au Cap j mais le
dessin s’étant déchiré en deux, j ’en ai perdu
une partie. J’ai cependant fait joindre ici
celle qui m’est restée , et qui ne s’étend que
jusqu’à laFausse-Table.
J e n’insisterai point sur l ’importance dont
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