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Vaisseau, £c)ioue sans ressource sur les bas«]
fonds de la côte. Cependant il y a pour lui une
jreconnoissance sure et infaillible que je crois
devoir indiquer : c’est que la Tête du Lionj
est totalement isolée du côté du nord,n’ayant
que la crouppe du Lion de ce côté, qui peut
s’y montrer et qui est plus basse j t an dis que la
Fausse-Xête paroît tenir,sans interruption et
sans intervalle, à une chaîne de montagnes J
qui, au nord, vient joindre la Table, et quj
au sud s’étend j usqu’à la pointe d’Afrique e
va former ce promontoire. A la« vérité , dan
les tems de forte brume, le renseignemen
que j ’indique ici devient inutile, parce qu’a
lors le corps des montagnes étant envelopp
débrouillards, il n’y a que leur cime qui
étant élevée au-dessus de la vapeur, soij
visible j mais dans ce cas, il est un autr
moyen certain de reconnoissance. La Têt
du Lion n’ayant à sa partie septentrional
aucune autre montagne aussi haute qu’elld
son sommet doit se montrer seul de ce côtéj
laFausse-Tête, au contraire, ayant à son se
tentrion d’autres sommets aussi élevés, ceu.
ci doivent se distinguer en même-tems q1
le sien j par conséquent,si le pilote,inççrtaj