nous n avoit mangé. Ce n’est pas que nous1
n’eussions des vivres j mais nous appréhendions
que la nourriture n’augmentât le besoin
de boire. Ainsi donc, épuisés de fatigue
, affoiblis d’insomnie, dévorés de soif,
nous nous remîmes en route, et marchâmes
vers les montagnes.
F i n d u P R E M I E R Y O R UME .
E R R A T A .
T O M E F R E M I E R.
Page 1 1 ligneantipèn. ma plaie, Usez la plaie.
ï 2 5 la borne, lisez les bornes.
4 o là fuir, lisez finir.
6 5 i touchans, lisez touchantes.
6 6 19 s’empressoit, lisez s’empressoient.
80 9 coup , lisez cou,
g6 19 h a is , lisez hels.
324 i ennemi, lisez ennemie.
i 5 8 18 larges et palmés, lisez largement
palmes.
340 ao six, lisez quatre.
361 dernière, àprès signifie ajoutez
au Cap.
»171 s dans les montagnes , lisez dans
h l ’intérieur.
187 a i et 22 deniker, lisez duyker.
ig r 13 la coucher, lisez le coucher.