
iies espèces qui se trouvent en âhüïïdaiice
dans tout le district de Constance t Ronde-
Boseh et Nieu^Landj et elles sont même là
plus faciles à trouver que sur ces hautes montagnes
très-pénibles à escalader f une seul»
me parut habiter de préférence les roches
escarpées5. c’est itm pie particulier^ qui est
de la grosseur de nos piesrVert, et dont le
rentre est rougeâtre» La nature qui ne se
borne point nux règles générales t et prend
plaisir à soigner les moindres détails r se
j,onant des systèmes de nos méthodistes, a
donne à celui-ci des toeemrs entièrement
différentes dç celles que nous cojmoissOos à
Ions les oiseaux de ce genres car i l ne grimpa
jamais le long des arbres, mais -se perche,
comme les autres volatiles, sttf les branches
lateralks, et cherche sa' nouriture dans h
terre ou il enfonce son bec et sa Îongne? langue
armée d’un dard, pour en>arracher sa
proie, ainsi que les autres pics le pratiquent
sur les troncs vermoulus. Lés seuls quadrupèdes
qui habitent ces hauteurs, sont , outre
les bavians, le Kawsi des hottentots,
ou Klip - Springer des colons Hollandoisj
g est une gazelle qui ne se trouve que sur les
rochers
js # A i k î ç t è
focliërs les plus inàréeè‘s i b l e s J dont jô
parlerai ailleurs.'Ori trouve claris les bas-
fonds1 ht íes vallées , notamment-1 !stir les
bords du petit ruisseau qui se jette dans la
Bàië-atix-Bois, quelques Gfys-Sock et des
Duykers, deux espèces dont il a déjà été
fait mention.
J’ëntendois tous les soirs hurler les hien-
i ries,mais j e n en ai jamais rencontré en plein
; joirrq iihe seule fois j ’entrevis une panthère
I ááíús; ïéS dunes dès environs de Falsò j j ’y
Vis aussi quelques perdrix de la gtah'de es-
I pêëé, nommée au Cap, très-iinpròpremeht,
faisan. Les arbustes et les plante^ stint en
giànd nombre sur ces montagnes j màis les
: botánistes Tumberg, Pâterson et Sparmann
èft ont Suffisamment parlé.
•,Jl:-Bn:qiïittântleIo^eftoerit'quej*avbîshtt‘'€îàp
cKéz :Boèrs, j ’en ¿vois accepté xin 'dd Gòr-
doii;i quoiqu’avec mes projets je dusse‘Foc-
cuperffort peu dotems. A peine ÿffis-je instalé
que je commençai à travailiëfaux pré-
p&rMfs'de mon départ; et donnai mêrné
quelques ordres pouf meS voítiítáü ¡et mes
ïestïàuxlMais le colonel, qui conÀ&iâsoit les
Par fesqueh ’fàffôis commence^ mon Tome I,