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soit tlë viflî regrets J je volai vers ltd , et
pour la troisième fois son habitation revît
un do scs plus chers en fans $ je reçus, avec
profusion', les caresses do cette famille charmante.
A la surprise, à la joie nue je leur
causai, ou désordre subit de la maisonI on
eut dit une fêté renouvelléo do l’histoire
ancienne ou bien un personnage fameux de
retour d'une expédition illustre ; ils ne semble
ient tous occupés qu’à deviner des moyens
de me rendre mon séjour agréable. Les parties
de plaisir qui fussent davantage à leur
portée, ainsi qu’àlamienné, étoient celles de
la chasse : on m’en prodigua de très-amusantes
; quelques promenades plus paisibles
venoient faire, de tems en tems, diversion
à cet exercice fatigant : les aimables filles
de Slaber s’étoient chargées de les diriger ;
elles y mettoient une sorte de finesse et de
grâce qu’on n’auroit pas dû attendre peut»
être de femmes si peu faites aux usages
et aux cajoîleries des Européennes. Elles
a voient imaginé, par exemple, qu’elles ne
pouvoient offrir aux regards de leur hôte
inconstant, un spectacle plus doux et mieux
fiait pour le retenir auprès d’elles que celui
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