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par l’absetfce dé coecûffisl^Éfe quils s’ëloignenÆq'eês deux
familles pour sërapprocherdes Clupéës^aM^ficfnnexioa
de leurs intermaxifiaires et de leurs maxillaires. |@sp|;deux
os aona enSôre plus' semblâwes à ceux des- clupébïdes dans
lêsl AÏépocéplï^l^qui#pîntr deS^ceecums j mais leur ventre
est arrû'ii'di et sÉhs dentelures.^Cxëaèaraetère '«.e retrouve
llilSdes^&bnorhÿnques et'lels’Chanos , qui ont une bouche
sMtis dents ^ëbmme||fes,Cyprins, et dont la diagnose porte
:f l r lâ^randeur <fdë; la membrane branchiofte|^ en*forme
%e bourse. La fôrmë^c^m^ritïïl#^duIcôrpS^es-^Q^tëb-
^Ipossum é t dbs Hÿodon râppellë -celle ri^s^MrdÆ'h€res-\
maislê^deux c c^ ô i^ d e rOs^bgldssùttt et lar^ssemblance
"def;%utre^' tiscètés - nOufï conduit ^e?rsde$Morifiÿifi&, en
m'êMe temps quë la forme de là EduïWfe%t la granldeur- dèfr
■ tèùs-ôrbitaires' éüîra'ssarit- la joue ; rappellent ïel'É%thrins.
fami-lle^éfùtë^’qui
%ff groupe ” ëëjîehd§mt à^^feff'des^Bufirinsj cëtfx^ëi ont, dèv
^ a n ffi^ affmiM^I W^ies*' Élbpesl et vils ''Mégàlopes , qui
ramènent B é iix les Amia': Ces derniërstimOntrent ^auSsi
quelles afimilis ^existent entrer eux* étalés ehythrinlxEn
r e tiran te s différëhïhs petites familles dfs^iêlupéoïdes^ôù
elles avâiënt- été placées^' ceüx-flfeêstent alors mieux "cir-
ëonscritset deviennent de vëii|feblës familles naturelles.
L«e besoin àecm*chàhgem^ts^ avait éfé^sênti d^?p5a'r
quelques naturalistes , et celui qui avait développé 4i?#cile
plus désavo ir et de^ fe aclTd les. raist)hs»qui lui ont fait
proposer Wftames ^aifibations ; à la- classification d S
p ô i i® ^ e t t M. Muller. T a r a i'la preuVëdânsJe beau et
grand m é iïp lli quil viefit de publierlsur la. structure et les
affinités* des :Gânoïdes';fy trouve la confirmation de plusieurs
particularités anatomiques importantes que j’ai obîéiiMlLLES,
lNtTERM’ÉplAI,RES. 1 0 9
servées de.' mon'*cjɧ|^|au .fur et à mesure qe préparais
l’ensemble du travail quë‘Ij^^'^ais'1 publi ër.’ Je ne crois pas
cependant que les,, légër|;!"cHang^riaents qui! a fait^,s rendent
ccs famillei^^^^^ëttemènt limitées.
};^Éessâye^lde Je prouver par djès 4i^c^sions dans- lesquelles
-jèlfsuis* ëntrévà chaqiîéïartiçféj et|<Ç ^ seraient que
des répétitions inutiles. Je mé?d‘nût#itê^|i|de-fairp^emar^
quer ici que ph&feuis'ides familles, en.apparencè“.st|peu
nonibifëuses, d ^ d ^ ^ p if e s présenter ^suècessiyement“lés -
caract'èîeffet l’Kistoire^sont des%pés pu. des représentants
dâmésigrandes' familles dé^oissons fossilÿ que MÂgassiz
%^u C onstru ire avec tant d’habileté. Ainsi-parmi les pois-
-kons fQSsiles tçftiaii|eÿde Sheppy nous verrons,.Reparaître des
gènrés'très-^oisîn^'des iChanosV T es Enchodus du célébré
prSfësfeür- de iNéWclfalel' prendront, placée aupr ès’des -Chi-
rôcênddl^Nbtis en aurons plusieurs/autres à citer auprès
’des Érythrins. Ces familles perdues combleront, dans beau-
Clup, deccas, les vides qui semblent resteT^eiitre les familles
des poissons actuellement vivants, dètoêpie q u ëÇ s petits
groupes, aupàra vanrconfbn d usd ans. des. familles tropcbnsi-
ddé râbles, .viennent rapprocher de la nature vivante les
nô^oréuses especèk, du monde arôïen.ftJ