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qui forme céS deux os. Qh ne peut plus douter que l’os lingual de
ce poisson ne fut hérissé de dents-côtame sesr^ongénères; malheureusement
cet.ps manque dans l ’individu que j’ai sous les yeux. La
fente des/çu^ejv est très-large. Nous comptons seize rayons à la
membrane branchiostège.%
JJarïdbt que l’ossature, dè l’épaule était presque entièrement
recouverte par le bord membraneux de ropercüle. La pectorale ést
de- Itmgtaéui’ médidcrë; elle esttmngülaire et à peu près aussi large
que longue. Je la trôuv^pèntenue neuf fois et demie dans la longueur
totale ; lâ-ven traie est petite, attachée aux- trois, cinquièmes du corps ;
la longueur n’est pas moitié décollé- de la pectorale.; la dorsale et
l ’anale .sont tout à.-fait reculées sqr , j’pi,r.ière' phtstr pnc, et ne laissent
en amère qu’un très- oôùrt intervalle entre elles, et la çaudale ; la
dorsale c.ommence,au® 4roisfjquarts. de la lpngueüp dW 'corps, la
caudale*non/comprise. La hauteur de la nageoire.est à peu près le
septième ‘desla^largèiir.
^ D. ‘35 ; A. ; P. V. 6.
La caudale eSt /courte, artendijS^.et ’ deux fois et demie aussi
haWe que longue. ’ Lèsécaillesi;sont grandes et presque'osseuses ;
leur surface rési rugUeûSe.cN'avi'S en ' comptons cinquante-six entre
Tome- et la^Gaudalé, eé’é’èi^é' dans'^ une rangée’ Verticale, Depuis la
ligne - t^édialtfe * dèr-sple jusqu’à ' ‘la -lignc moyenne du ventre elles
diminuent progressivement o^grandeur, à/mésùre que l’on s’ap-
-pr®r§hp de l^Qândalejfèllés e^ibrassept cette jaggeoire, ainsi q^e4a
dorsale e tl’anaie. Les ont un bord membraneux fort épais,
.qui mraît^psès^ vivement,qpl©té. ,La ligne latérale; est tracée sur . la
sixième-éangée dMcàilles, A partir dè la ligné • moyenne, elle est
marquée sut; chaque écaille par un très-large enfoncement obltmg,
qui s'aperçoit distinctement jusqu’auprès tiè la queue:
Je ne puis juger -de la couleur de ce poisson que d’après celle que
le préparateur: lui a donnée : c ’est un ven plus ou moins obscur
sur la tête é t sur le dos. ÂtMlessous de la- ligne latérale les tantes
deviennent p lu s ’jaunâtres; tout le bord membraneux des écailles
est coloré d’ün rouge, ferrugineux assez vif; ce qui forme un large