Wilkinson1 qui^doriné la figure de deux représentations
en bronzë^dé nBa m’Ôrmyre/' oxyjhÿnqüés. La,figure
n est pas" laussi 'expiée que la figuré'25 celle-cigëfrapporté:
parfaitement au_ bronze du Musée du Louvre ..dont j’ai
parléétputà l’fieù^. à.
M. Wilkinson croit que cefroxyrhynque est le Mizdeh
de l’Égypte moderne.^
L e Mormyre ^ac^ qü^.-
|§|/ M o rm y r u s ^ V a c h i q u a , nob:),,
M. Riffaült aVaif*à i^ ^ K d é s s iiï.d ’un>;âutre morînyre,
voisiu|du kannume ( Morm. oxyrhynchui), mais qui me
paraît en différer
par une coloration qu’aucun de ceux que j’ai.observe^iusqu’à présent
- ne nous ;a offert.
Ce poisson, à en juger, pard g dess i n , l e museaÆ j|arfaitemént
semblable^ *èïùi dé notre oxyrhynque. ^ d o r sa le / é ten d uérîSptflng'
du dos, est courte,* comme délié dé cette "dernièie'espérere'tyr'eSt'
> ' ’s^tenue que ‘par une soixantaine-de ràÿorisrLes ventraléPgt l’anale
paraîtraient plus /grândes.^La couleurest Iverdâtre sur le dps^au-
nâtre au-dessous de la ligne latérale; tout le,corps ^st teinté de
larges marbrures fauves; l.ejroug|^domine vers la queue; la dorsale
porteàjfe. travers son milieu, une"bande longitudinale fmvje5
la caudale, fauve,^st mêlée de rougeâtne^Toutes les-nagëdiïe^infé-
rie'urel^uest-à-di re, les pecto raies, 'le s véntralès * eT'f^ale^^sq nt
également fauves^t traye^ées 'par trois>oü' quatre lignes
rouges ; la bouche ^ l 'eB^urée de lauve. CeS' couleurs Sont tellq-
« ment différentes ® ^ ^ ^ in l iq t î é e s par tous Jes auteurs qui ont
jg écrit ïurfê^ùrwyjes, que j’ai cru devoir ^signaler cette espèce. ‘
' Lé de^ff^êptéseMe^un-poisson de quinze pouces, et
1. J. Garda. Wilk. / M a n n , o f'a ifc . E g y p t. ‘, Vol. II, p. 25o,'seconde*série.