tronc l ’est sous elle. La caudale - est profondément fourchi^'étle
lobe inférieur dépasse beaucoup le supérieur.
' D. 2 2; A' 2 0 ; C. 2 6 ; P. 8; Y. 6. ^
Çe poisson a le corps couvert d’éçailles qui me paraissent tom-
ber facilement. La couleur est bleu verdâtre sur le dos, avec une
bande longitudinale plus foncée qui suit le miliéu de l’épine du
'jv^dps; les flancs et le ventre sont argentés; la bande latérale est iéi
très-brillante.
M. Leschenault, qui s’est procuré ce poisson à Pondi-
ch éry, la entendu nommer en malabare Karo uvalet Ko uala.
Il assure que ce poisson“"parvient à trois pieds "de longueur
environ. L ’individu qui faisait partie Jaè',sés c o lle tions,
n’a.que quinzegppuces. Cest, dit-il, un poisson bon
à manger, quinest? rare dans la rade de Pôndichérÿ.
Cette espace a-'été représenté||Éd’une manière fort
reconnaissable dans, l’ouvrage de Russefesops lenom de
Kuddera C. Nous en avons nous-mêmes donné une figure,
dans l’Iconographie du Règne animal à la pl. 98.
Zv’HÉMIRAMPHE MÀCRORHYNQUE.
,... (Hemiramphus macrorhyncus, nob.)
La seconde espèce de ces hémiramphes, à.bectrèsr-
prolongé, a
le corps plus* court qüè le précédent; la hauteur) qui ne diffère
pas de celle de l’autre.individu, n’est comprise" que neuf fois et
quelque chose dans la longueur du tronc. La longueur de la tête,
le bec non compris, est six fois dans, celle du tronc. Les yeux sont
beaucoup plus petits, et l’intervalle qui les sépare, ou ce qui est la
mêMecchose,la largeur de la tété est. plus étroite. La mâchoire
î, Russ., Corom. fish., p. 62, pl./i^Sî'