//HÉMIRAMPHE DE G e R'NAE'RT^.i,‘ ■
- (Hemiramphus Gernaerti, nob.)
Cette esp u ç ëaV
le museau plus pointu-qu’aucune’de celles que nUus'avons encore
examinées .* l’intervalle qui senare les yeux n’est‘que d’jirie fciisiiçj
diamètre de l’orbite^les, dents sont fines et plus pôinttW proportionnellement.
La dorsale' et l’anale sont petites et-basses. La caudale
est peu fourchue,
D . 1 3 ; A .
Je vois dans cet individu une bande' ^rgéntée^béafiSupIplus
! lar^^eptre les deux nageoires impaires, q|mdYns?toutes ['dsjautrc-s
espèces^l’intervalle-du ventre-compris entre lês^deux carènes, paraît,
avoir été rembruni-comme fe^os. Les flancs son.t gris d’argent.
L’indiyidu est long de sept pouces et qtîehjue’ choses II
a été envoÿéjdes mers de^Chine" pâr M. Gernà'erl,|^^ûl
dé. Francë^à Macao.
J’en trouve un second exemplaire d’égale grandeur dans
\el collections faites dans le même endroit par M. Eydbhx.
La mâchoire inférieure du premier de' nos individus
se prolonge en un bec|trësymincecét qui mesure ïe|cin-
quième ^dé la longueur totale : elle est recourbai par le
bas r'cètté dispositioh est iudiÿiduelle e^non-splcifiquëj
Lon peut ;ypir. (dans le recueil imprimé au Japon la
figure d’un, hémiramphe qui a la plus grande ressemblance*
par la brièveté-du.beç,* la pointe de la tête et lÿp éu de
profondeur de- l’échancrure de la eau dalj?_% * a ve c ; l’ësp é çe
actuelle pour l’y rapporter.
... Zy’HÉMjKÂMPqE AU LIBÉRÉ NOIR.
mf{Hemirqmphiis limbatus ', nob;'|*é
Yoiçitehcoi'é une êspèçr^l’hémirâmphe ^oisine. de la
précédente pat l’acüi/é|de:spn nmseæû^c^r l’intervalle entre
les yetLxfnèf^Qiiipreçd;qu’une fois Je; (^^S^re ;.maiacellë-çi a
le çdçps plus ha’ùt' ^êc plus comprimé; la hauteur est coftipri|eS
huit-fois dans la longueur totale-; le b,eç;? qui eslgrêle ,'y^est contenu
cinq fois' et quelque cfioste. La dorsale.et l’anale ’spnt .bassès, et la
caudale^st plutôt échancrée que tfourchue.^La|pectqrale est proportionnellement
assez longue.
‘Les.nageoires impaires sont finement .lisérées de noirâtre;,'ç^s
!i®ignés^Spnc ïfâcées le long desinoi^bqrdk de .lâ^caudale. Le, bec est
_ ngfc.I^^çtorpé trale'soWin^mo^s.Ih^orps du poisson
" était hlanc, comme transparent, avec une bande-a'rgehtee ,éigalement
. étroite dans toute son {étenduepjf!
Çet hémiramphe, long, dé" six ofices^neuf lignes?‘â"’été
rapporteuse rla cô,te defl^[alabai;\par M. Diissumier. Les
p.cche.urs de JBpmbày lui ont dit qu’il > y' est abondant
et que sa chair est bonne?’ ?
M. Leschenault a aussi o'bseryç^ett^ésp^e’aansla rade
de Pondichéry. Les pêcheurltlindiens l’ont nommée en
tamoul, Kola.
En lisant avec'soin la description de YEsox marginatus
deyjgorskal, et surtout en rq’éeimrant de céllé'*quë‘M. Rup-
pell a donnéeFayec des détails plus précis, parée’ què ce
savant zoolôgiste ne confondait plus’; comme son prédécesseur;
les différentes espèces de?cë genre? fai tout lieu
de ’|>eiis'èr* que" je trouve .sur ces&otes de la péninsule
l’espêç^âriciéhnemënPdécrite par le voyageur danois sous
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