5 5 8 ' LIVRE £X. IHALACO^TÉRÏ&IENS.
sur le genre. Hété^tis, il j e.st
juste cependant de dire qu’Adauson avait trouve l&ngtemps
auparavant, et dans-son voyage .au Sénégal^ une es^fce de
ce genre; mais le seul exemplajretdéposéda*ns Je (Cabinet-
du Roi ne pouvait pas fournir de renseignements suffisants
aux zoologistes, à cause, de jsa préparation; car le célèbre
yLoyageur français m’en avait conservé qu’une peau séchée
et conservée en herbier,: selon la ■ coutume de ee temps.
M. Ruppell a observé presque ,en .mê^è'\#-Uip:%que
M.- ‘Ehrenberg l’Hétérotis d u fN lfi il* s’est ^pntemté^m
dèæ^iies les forces les plus apparents, spus ïd#. .nom de
Sudisniloiious. \ $ 0 I f É t l y - ' is»
Toujt^réeemment, M. Muller a-dât quelques mots su t les
' d e n ts , ptérygoïdiennes des SétéjFptis; mais il a lais|;AéÙepre
beaucoup trop ùjfahe pour qu5Qn*ipuis|# lui at^ibuer l’établissement
des caractères pojitifgjde .ce,. genre.
J ’ai déjà d it æhl’article des comment M. Cuvier
avait mon fondu l’Hétérotisidu ®i|^t*celufdu Sénégal.; mais
mon illustre martre, ayant eu fintentionidè dédier ,1’espèe^
d^me fleuveih. Adanson^ j’ai pensée que je'd^vaigV suivre
qette indication de nomenclature-!^ donner ,1e nom de
mon gavant et illustre. con^èro,,;M. Ehrenberg, ffu. une
espèôe duoh ses infatigable recherches., têt répandue>$wr
un assez-grand espace de l’Afrique septêntmonalcr,-puisque
les exemplaires -que je vais décrire ont1 ete rapportes, du
Nil: blanc.
■ v //HéTÉROTIS d’E bUENEERG.
■ {Éèter6ûs EHreribërgîi, ncb.1)
L ’Hétérotis du Nil est un poissgp de forme allongée et
comprim ée^i à-dos un peu »épais et arrondi* $t qui peut, à