ciscus aspius. Je ne puis donc partager, au sujet du Synode
chinoïày l'opinion de M. Cuvier'.
’lies matériaux de M. Reeves indiquent que le nom chinois
de lTilope est Ghuh Kèaou. Ce voyageur avait un
second dessin portant-le nom de Chuh K in , que M. Richardson
considère, comme une espèce distincte qu’il se
proposé de déSigneî' Ae nom à'Elops purpurascens.
Il ne différerait du prëcëdetit que par les nuances purpurines
étendues sur la partie supérieure du dos. J ’attends,
pôur më'faîèè^une opinien^Sur cette espècè; la publica^
tion’ des ’-figures originalès^ et mieux encore, une description
faite d’après lèppôfeson même.
Z/’É ^ n ç E LÉZARD.
\ElopJ îàôerta, nob.)
Au milieu des ^nombreux 'exemplaires d’ÉIopes réunis
dansi; le Cabinet du Roi, nous avons trouvé la preuve,
qu’avec,ceux de 1’espece..préqé^ente originaires du Sénégal,
il existe sur cette côte une seconde, espèce très-distincte
dp la première. J^çus eri possédons cinq exemplaires très,-
semblables entre eux, et, faciles à distinguer de Tespèce
ordinaire par les caractères suivants. ,
• -'y Cet Élope a le corps comprimé, et le dos étroit ;. la tête et le
museau plus aigus; la gouttière du crâne plus resserrée; la dorsale
et surtout l’anale sont plus hautes ; les ventrales et les pectorales
sont plus longues.et plus aigues ;- les nombres ,des rayons de la
membrane branchio’stège sont aussi différents ,°^et même ils le sont
plus que ceux des rayons des nageoires, quoique ceux-ci ne soient
• pas exacttemêhtdes mêmes.
B. 55 — 26; D.20; A. 17;
Les dents sont plus pointuês'; les écailles sont plus grandes ; la