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SmÉ d.mia orn^ta3 Lesueur.)
M. L e s u e u r a ènvoye%âur C ab in e t ’d u Ro i unte E sp è c e
d’Àmie qu i avoisine «la précëdeiSlfe p ar la tache nqire de
sa c au d a le , maïs qui en» différé par~>âes^ara1ctèf?êf?î4:
portant sur la forme^des pièces osseusc£j| et aussi par dp,c,ouleurs :
asseZySemblable à la précédente 'par lès.fo’rmesr, gënéijTëA^ceJl^ici a
les os de la tête lapins striés; lesjAürfemphraux.sont plus,énjoits
, et récbanGrure nucbale plus ouverte'et moins prbfôhd'ejles nombres
stmt les':mènies;
\ DJ 60 ^ A. -9 , “êlo 4
Les écaillés sont de même grandeur. La'couleur du,: poisson,
<cons,ervé dansl’aaçôol ; est un brun~verdâtre surie"t|os’sans aucune,
espèce de marbrures ;les pectorales g©rit‘brunes ; les autres. nagetùrés
1% ont’un*)fîn'diséfé noir. Sur le milieu delà dôr,salè'Ægne'une bande
longitudinale brunes-lin trait noir va de l'extrémité du '-musëau à
d ’angle supérieur ded’opercule en passant pacÿ^aeil-; 'un t second- est
tracé de l’extrémité cfu maxillaire,à l ’angle;arrontJLdu pbfQperçule ;
un autre suit le bord de la mâchoire ^inférieure4;. il y ^iencpre
quelques autres rayures 'sur la tête. La vjvâcilé -des couleurs du
"poisson frais justifie le nom que JM. Loueur lui a donné. La couleur
est Verte ; la dorsale est rouge averses deux bandes n.oîrcs^ila|taéïie
de la caudalêi es,tentourée djun bel ÔbeljeJilâhc.
Je ne. possède qu’un .seul exemplaire d e c i t f^ e & ^ c e ,
encore e s t - il’ de petite ta ille ;„car il n’a. que. ;deufe&Q.Uftes
quatre lignes de long. M. Lesueur croit que les individus
restent toujours dans de petites •dimensions, n’excëjàant
pas quatre ou cinq poueëür:* il n a vu .ce tte Amie qu’a là
p o in té Chibault sur le Mississipi, dan§ le£ petites lagunes
’ d’eâü q b eA a ls e W flèü ve '^ ^ r^ ^ ^ riv e s?^
L ’A m-IjEj-j,VERTE.
* Lëstteur. )
Ce même nâtûïàlisjte epeorsê^ o|)se$vé aux environs-de
la.^ouvelle 1 Orleaps, une espèce qui d@ii! être .voisine des
precepentes,*
dents comqufis^issës petites et, d'or^t la cQuleur
- l,e jcorps $|raît un yeét.ëliyàtre cendre^les écaillés,, arrondies'
, seraient fiordéesbl’une 'itrembrane ^cdlorée^en veçt olive très-
fb'nééj'le desspukde ïàVére et de l’abdomen, blanc,'aurait quelques
; ■ téifotes*j àun^s-'d’d^l^'. ^
À-Caûle du muçâèîé pris» q hî*reçoitvËéjïoSi(, fe-4$ îps1;flâ coüleùr
vefj|ë|d!u p^jp'sohjssùtrès*- brillanteaæbsôrtir.i de l’eau, et reflète de
belles-^,eintes,lfj^ées .dejrtopazfe dt-A’émeraude. Voici les nombres,
iu^iqués par M. Lesu|u^^1
-B-, 12gdf^'O A.j9 P. V. S.
L ’A m ie a q u e u e ^ o cim uÉ E,, " , ,
ftp (jfinia ocellicciuda, Richardson.)
Je trouve date J^Ladbê^ae l’Amérique boréale de M.
Riéhardson1 une dësctïptiôh malnnhreu^enient^complète
d’ikhe ’Amie*'à* ‘ éajùqàîêâ taclrauÿê, et qui ë^t d’une espèce
probablement distincte.vEn voici l’extrait": '
Le, dos^lgssJcotés sont brun noirâtre; le ventre et les nageoires
. vert foncé ; ta queue, oj)longue et arrondie 5 avec une tache ronde
JrfêgùltiFèJ d é l l i» èritnglhr d’un smlliri^ lest bordée d’un cercle
écarlates fcéïte tafehe’ tesUàla base du septième rayon de la caudale.
* Gecque l’autCUr •à'jdùtê dans' le [reste de sa description, est plutôt
. .générique qpé spécifique. Il est probable que lé nombre des rayons
L Rfehardson, Faim. b .°,8 ^
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