rieure, une inférieure ét deux léteEâlês.rtL& tiers antérieur
de cette secondai vessiëibffre des parois I celluleuses^ les
cellules sont diéterminées par des' ferâd^s transversales
nombreuses, serrées, parallèles, entre elles,^et^perpendn
culaires aux grandesrbrides tangentes à surface du cône.
Ces bridas elles - mêmes ,s.o®t. réunie^ par - d’autres! pluf
petites, excèssivementplus nombreuses>et perpendiculaires
aux ^transversales que noiis venons d’indique®.; E n t r é e s
mailles1 on aperçoit dë: nombreuses lamelles entrelaeees,
auxquellesBig&t due la celluldsité des parois de fe«ivëssié.
De la portion^arrondié- et inferiêdre diiLïSecbnd lobe^n
voit naître un conduit ;a.érien qui vieîit. s’ouvrir dans le
haut de-l’oesophage. La yessie des ^ythrins a donc, dans
sa. forme et. dans son «conduit, une ressumblaace^notabte
aveo celle des Cyprins; mais elle en diffère par la cellu.losi.te
d une partie de;ëes parois,
i ;Cesq>oissons vivent dans «les . eaux douées* de l’Amérique
équinoxiale. Je n’en connais pas cfës ïégions froides^ae ce
continent jvlè't.; les stplle étions n’ont r«§uri»bbime? espèce
venant d’autres parties du monde. Ils «e-nourrissent dîh-
sCctès et d autFes ;animaux 'aquatiques.; Jt " t- ‘ ’ '■ ’
i^Ces, jcaraetè'résîfconviennent parfaitement auXtÉrylbrins
tels que M. MüHer vient de les donner; mais j’ai quelques
observations à présenter sur la synoriÿmie de sa première
espëèë« j’en retirerai la troisième, qui a été si parfaitement
déeritè/par M. de Humbûldt,: qu’il ést: impossible de se
tromper sur sps affinités et ue ne pas reconnaître en. elle
une espace du genre Macrodon. .
Nous ne possédons d a n s nos eoffeètions que^trois éspèees
de ce genre* ,
X ’jtayrH&îîf A..upAjMJELETTE. ,
' ' (ErfthHrius’ uÂîtcêniams j ‘Âgassiz. )
Bien que' jfaie reconnu dans, l’espèce qui nous est venue
en abondance d é ’Caÿënn'e XErythrinus> dei Gronovius,
je préfërè ÿiaidér ? d5#boira dè' cèlfè# décrite *e‘t figurée par.
M. qu’M^b lfp pluS gVande et plus facile à
caractcnsei. ,
Cet Étythrin j t ^ d o s et le, ve-fîtc.e .arrondis- les flancs un peu
, -comprimés,, momjs^gpios que la têté ; l ’épaisseur du tronc mesure,
à! ,nëspp^u,,d.e;iG^se.(pr^si'j ,le^?deu.x tiers «de, la hauteur, qui est
environ le cinquiènie devlg .longueur totale. La .mâchoire inférieure
a des hranehes -fortes et rjondies, et ell$ dépasse un peu la sapé-
rieurej l ép^iisseur,djéJqes branches,.contribue prendre la tête presque
u, a¥;s§j -t^nde en djes,sous qu7en dessus ; les çôtés,. sont méplats; la
longueur de la tête est le quart de la longueur totale, et la distancie
du bout.du museau à l’pccippt lie fait pas. tant à fait les deux fcièrs
de la têty. C’est le bord duprp^prejulg, un peu plus reculé que
ligne ou^finit le crâne,,.qui ,est éloigne du bout du museau d’une
. distanicè^égale, aux deux-tiens, de la longueur de la tète. Le bord
postérieur de l’mjbite est à Jâ fin du premier tiers. Cet oeil ;eat petit
et n entame pas la ligue' du profil. Il y â plus de trois diamètres
entre les. deux yeux.vLne peau très-mince, percée de plusieuéà
, :, pores »«rgppuvre les os> dupsrâne, en laissant Vj0ir à travers leurs
^ .sutqres; |Ç&b|jjÉ| opté de la joue est; qssgpx, à cajise^du grand développement
des derniers^ousrOjvbitairGs. Il y a six pièces osseuses:
k m m à h s*mple arc de cerple étrpit; la .seconde se dilate
un peu âu-dessjpjus de l’oeil; la troisième ne. touche à l ’oeil que par
une petite bandelette étroite, mais elle se; dilate en arrière en une
très-grande plaque, à bPrd*inférieur arrondi et qui suit le contour
du préopercule ; la- quatrième, pièce, est étroite, un peu plus Jarge
etuarrièr-e qu’en avant : elle af la -forme d’un trapèze oblong; la: cinquième,
qui est au-dessyts de eelle-ui, a sçn bord postérieur plus