du tfës^beau dessin dont M. Ehrenberg avait- enrichi- ses
porte-fenilles. Ce naturaliste l’avait vu à Massatvah. M.
Ruppell cite aussi YElops dans 'ses 'Neue Wirbetlhiere;
pages 80 et 84, et il YappeYtèfElops machnata, croyant
probablement, d’après*4 la note de la seconde édition du
Règne animal, que l’Élope de la mer des Indes est différent
de celui de l’Océanatlantique. Antérieurement Russel1
avait donné une excellente figurè-dë YElop& sauras; il en
a vu des individus longs de ^vingt pouces. Il dit qu’on le
sert sur les tables des Anglais établis à 'Vidgapatam,;sams
qu’il y soit cependant estimé} scftrnom indien est Inàgow.
Enfin, il paraîtrait que M. Richardson1 2 3 a reconnu l’Ëlope
dans les collections ichthyologiques faites dans les mers
de Chine et du Japon, par M. - Reévés.1 Dans ce rapport
fait a 1 association britannique pour l’avancementf“dfes
sciences, l’habile iehthyologiste que je vieHs de ckfer-, indique
deux espèces d’Èlope,: il voit dans l’qne celui.dont
nous nous occupons maintenant, en le-nommant“ Éîops
machnata; il reproduit ce meme nom dansfïchthyologie
du voyage de YErebus ^t du Terror, planche 3 6 , fig. $
et 5 . C’est ainsf qu’il le cite dans ceCrapport. Jë^regrette
que ce savant introduise aussi un nom nouveau dans nos
catalogues ichthyologiques. li cite, en s’appuyant sur l’autorité
de M. Cuvier., le Synode chinois de^tacépède4-;-
mais en recourant au dessin original, dont ceUâuteur a
donné une si mauvaise copie, je ne doute presquecpas
que la peinture chinoise n’ait été faite d’après quelque
espèce de Cyprins du genre des Ables et voisine du Leu-
1, Russ., Corom, fa# 63. pi,
2, Richardson, Rep. on the ichth'. df the seas qf Chin, et Japi) p. '3xi.
3, tacép., t. T, pi -3i;g %t 332“, pl. -*o-,
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