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et grand réseau sur tout le corps du poisson.. Les nageoires paraissent
d’un rouge un peu plus .vif. ■
Telle est la description du grand ifFdSvidu que jib'ss'ede
maintenant le Cabiïïët du Roi, ët qui a été c4dé à la Frânce
par celui de Lisbonne en 1808.,
XI est long de,ssjx,pieds,et dpmi.
Il ;est probable qu’il vient dp Para, comme la plupart
des poissons de„o.e Gabinet, ejt.que par conséquent j.1 3,.© té
pêché dans la rivière? des Amazones.
Je n’auraiS rien^à'afbhtèr-’à'cfette'deseription exlérieure,
si jàyais pu y joindrè^éfclle de Los lingüal.
; ■ p y YASTRÿ» DU ' Ma'PA. I:
(Piastres Mapoe, nQfeLu
La seconde espèce d& Yastrès^dépqséç.dans le Cabinet
du Roi. ne le cède pas, pour la taifie, à la préçédente. Elle
lui ressemble assez par son aspect général é t extérieùr, jpour
qu’on puisse la confondre avec elle’ Mÿs^en faisan tatténti’on
à la disposition des dents de la machô^-Jnï'éri^ure, du
vomer et. du sphénoïde.:,, on ne: tarde pas^a .se,(copvaincre
qu’elle est tout à- fait distigpe/L’on remarque alors, dans
les ciselures des»® du-crâJtet de la joue, dans les proportions
des cavernes dé cès ôs*,'des-différences-assez grandes
pour Encourir aussi à l’établissement de les^e^Il Les
caractères spécifiques les plus saillants que je ferai d’abord
remarquer ^consistent
dans la forme générale du corps, qui est évidemment plus allongé,
plus arrondi et moins déprimé jjue. celui de l’espèce précédente. La
queue, entre les deux:! nageoires verticales, iest plusjétroite.; Le
f tronçon de cette partie du corps g entre la dorsale et la caudale, est
plus long. Le dos est plus arrondi et moins déprimé; la dorsale et