Dorey de la Nouvelle-Guinée par MM. Quoy et Gaimard,
pendant la relâche qu’y fit l’expédition de l’Astrolabe.
- X 'H émiramphe. d e ' G aimard.
(.HemiiràmphuS Gaimardi, nob.,K®à
Il existe aussi dans lés mers des Moiuqués1 une autre
esp'èbe, qui ressemble beaucoup à la précédente par la
forxiie générale du/çqrps, mais qui a
la tête beaucoupplus étroite, le museau Rétréci et la lame du bec
sensiblement plus mince : elle est un peu plus longue' qu’à l’autre
espèce, car elle n’est comprise que six fois dans la longueur totale.
L’oeil me paraît'aussi plus petit ; la pectorale moins =pointuér^|
d .
Las couleur oesserable.à celles des précédents ;®la bandelette* latérale
argentée est bordée esn' déPpSvdlr yerdâtîe. ' ?
, Nos individus sont longs $e^neuf pouces r deviennent,
les uns, d’Amboine, les autres de la Noutelle^feuinee. Le
Cabinet au Roi en tàst redevable aux recherches des mêmes
naturalistes qui ont trouvé l'espèce -précédente pendant
l’expédition de l’Astrolabe sous les ordres de M. Dumont
d’Urville; mais ces mêmes navigateurs s’en étaient déjà
procuré deux exemplaires" à Bort-Jackson pendant la
campagne deJ’Urani^Isousil®prdres de M. Freycinèt.
L ’HÉMIRAMPHE^Dfe’’GeORGE^ ’
• ^^èmiramph]us 'Weorgii, nob.) fï
M, Dussumier ^Rônt le nbm a ete déjà donné à une de
nos-éspèces nouvelles, en a rapporté encore plusieurs autres
sde cette grande expéditiombonsacrée eir^rtie à l’ichthyô^
logie ; celle-ci, que je veux encore dédier à la mémoire