de çe zélé collecteur en la désignant par son prénom,
ressemble beaucoup, par lensernble de'sèsHformes et la
disposition de scs CQuleürs-telle-s^qu’elles sfë sont conservées
dans ralçôol, à l’espèce q u e ‘je viens dè riommer j l ’àprès
M. Gâimard j mais ëllé en diffère
par u;n bec tellement prolongé qu’il surpasse le quart de la longueur
totale. Il est^large et aplati; la mandibule; supériéujpf Jst
don vexe et en ogive pointue; la nuque, est un peu'voûtée; là
'région sourcilière est, soutenue rimais leunilieu de l’intervalle
qui sépare les yeux est déprimé en une-assez-large gouttière. La
dorsale est basse et allongée; les venlralesL-sont reculées au troi-
sième^tiers dû, corps ; lja;:fiau.dale est peim&ircliue.
D. Il-, A. l'&Ç eteS?
Le dos est d’une rcouleur blanchâtrê avec- une'bordure, verdâtre
. autour de chaque écaille;^le ventrfetesbbla'nc, ■ à;-jefl'êts arguâtesfs
mais moins brillants que la belle bande longitudinale' bordée* d’un'
trait verdâtre qui séparé M-couleur du tlps -de celle du'ventre.
Toutes les*nageoirés sont blanches ^fla’dorsale et la';paudale avant
seules une légère teinte noire. Le bec est noir.
L’individu que no.uSiVenons de décrire est. long de dix
pouces ët demi. Il vient dejdâ rade de Bombay.
Nous en avons-un j«pcc|ïd^xemplaire d e mênpn tailloe|
pêché dans la baie de Mahé, :çle Coromandel.
Z /H ÉMI RAM P H EÎ'p’E R eYNaJ jU.
(Herriiramphus Reynaldi^ nob.)
est encore une espèce voisine des précédéntes^ëcïcomme
intermédiaire entre ceux des Séchelles, lïOtrë Hem. JDusr-
sumierï, et celle des Moluques, XHetn. '■Gaimardi.
En effet', si elle a le beô plus étŸoiif que' CelüiW| l’hèmiramphe
de Dussumier, elle Ta plus large que • celui de l’hémiramphe de
-, Gaimard. Lé becj,psi plus long, :car ,il ü ’,est compris que. cinq fois
et demie dans ^aj longueu^ totale; la mandibule supérieure est en
! ogive assez pointue ;,le^de,ssus de.,là. tête est large et; aplati. Le corps
est.ar’rondiApresqùe^aussirepâis que haut., La pectorale est un peu
pointue ; la caudale Çj5t^$rpjnie ; la dorsale est plus haute propor-
tionnément à ' Saïlôhguéur. *"
D. jetci> - *.<,
Le 'p'hisson ' est ‘fauve a'vëc'uûè’teinte verdâtre sur led o s f^ la n c '
grisâtre s,ous le ven^e / la bandelette, ar gentpp; ïës é moins apparente,
que dans Vt la caudale* sont Tord ées -
de jnûigljii
* jN*©s-individus $ont longs de neuf podc^Sv •’
N o us ’jsn. ; aypns.ffreçu de Trinquemalé de^Geylan par
les -'rëcherches«;deBevynaucÇ chirurgien de la corvette
la Chevrettef et M. Dussumièl^nl^;rapporté un indiyidu
i l i it semblable qu’il notis a dit provenir des,ptangs^.Calcutta.*
*'
L ’H émiramphe é ryt h ko Rÿn q vf-îPr
ithi^Hemiramphus eryphmrypchus, Le.suèur^'. ! ,
Nous retrouvons à l’Ilc^e-France une autre 'espèce d’hé-
miramphe, qui avoisine les précédentes par SjMjfqrmêsr
générd'e|||elle a
le corps arrondi, plus a llongé ou plùs grêle qu’elles; le bec est plus
mince et plus lon^Mil n’estécbn^ênùjqû0.Æi'iiq! fois- et, quelque
chosé^dans la longuppr ^totale; le dessus d e ‘’k f^ Erest ‘étroit; la
nuque est convexe; la dorsale 'gJÿTânâlë^soîït longues et basses; la
caudale est fourchue. -
D. 16, A. 18 ^eté.'^vv
dtfthdividu^est long - de ,sneuf pouces, et il a été,recueilli
à l’Ilé - de - France^par les soins^de M. 'Mathieu, colonel
d’artillerie cotnma’ridant de cette .arme dans là colonie..