^ ^ e - p l a e e s Jfeut
sur la muqueuse <3e la bouchent de la Lïgp.e* qui est librej ch^rçue
et également Sans dents. La iiuac|ioxre inferieure, a "des branches
assez larges* Articulées ,ëh cfesso'us', de manière^qué la mâchoire*
s abaisse comme celle des’ Muges'1 et de hhAsiëürs aülres^especes*
de • poissons ; elle ^porte^d’e"5petites' dentS cbniqüés' ^Sur *pluiièurs
rangs ; et dont quelques-unes dépassent: les'autres. J,àic*sîgnalé! tout
a 1 heure.}çs deux^fqjSettesfpblonigÉesret latérales- quirrbçoivent sur
les côtés des branches les ma^i^lalfes. L’pei'l est ^S's^s.j^and- Qn
compte quatre pièq<^ s.o^-o/'bitaires .cfQn,t et la troisième
etj^^^sseiiL gp.ute la (jqqe--h^s pièçgs Qpej-
cûîàfreg sont ecailleug^ leV ouïes sont largement fendues^ la
peétôfàler, étroite, a^'ses prémî^S rayons prmohges ’en filaments
courts; les ventrales sont ass&^grândés; lai’do'rs^,>remfîqe fur
l’arrière du do\.fja jSes raÿen-s filamenteux.. Çêfete "disposï«ôn^ëst
encore hièu^plus-sensible dans la caudale;l^m^lp é^ oblongue,
mais n’a point (lé rayons prolongé en filets.-
, f3 Vj5 ; : D . 9 ; j!l. §«mm P . f j S } $ l i 8 ' 5 i o
-jÊl^pSjÇpmpitQns une trentaine de raqgéfs 4 ’% ¥ ^ s -fI\t,ï !ïf e uie et
la caudale; elles par^aislent, à la loupe, .striées"en rayons. -
La couleur est uniforniépieiit, r busse; il y a une tacnef noire
sur la dorsalfc _
L’examen des v i s c è ^ Jlfl%*fert/’^oiïr un ^èMèAmm^ali^^rès'/'uh
peu allongé et presque arrondi; une petite bræneheiqcirtapte^aVfec
un pylore é troit ; six appendices eèeéaüx, cinq dui ©ètè- droit^et
un du côté gauche. L’inteslin descend ensuite 1 e 1 on g do ’lestdm.tc
après 1 avoir^épassé il fait quelques petïtefsinuSB®|téSiettsè!ren<Lensuite
directement; à 'l’anus. Le péritfia**é:êst hlapc. argafiiléi é l
Je trouve au i-dessus de lui une ! grande tVessie ' aéFienneyvséparée
en deux* partiés:,i dbat la postérieure est paniqué, =et.donne un'
conduit aérien qui iva-s’duvrir vers le haut A e rbesèphnge. Lés
paroisneîSËmtipoinbrfluleüs^; etest donc une vessirndé Màèfod$n„
y è ÎÔng;*0*
I l^ f^ d f e 'S t^ l i i f t n t f c fd h i l k d ïë ^ ^ p ’o É ë p â r x i# a i l là rit.
CHAI*. XII. OMBRÉS. 3 8 7
^ CHAPITRE XII.
Du gçnre O mbre {Umbra),
L’Ombçe, cm Kramer bst un de ces poissons que les
^ th y o lo g j f e o n tJm ë longteoqàs çtJus silence,, ou que
d’autrçs^ ont placé plus'ou moins arbitrairement, faute de
l’aægir lîudiéj&uffisapmenj;. Il montre ime réunion de
plusie'tps" ^râejtères, ^gui le rendent,''en effet, difficile à
classer, quan4 on ne prendfaue. l’un d’eux et qu’on négljge
les. autres^
La\pv’,émi^Kid,Iscription k ^ i f i t paru de ce poisson
l’ouvrag^de Marsjgti!Pdrtmm‘ft elle date
: S ® ? W â i e u t e^oiser les petitès négligences qui ont
’MO^pp?é^,||^tfaq|^ur. I f a ^oip dV remarquer 4éjà que les
riverains du Danube ^onfc .£ort de Jefconfondre avec le
Goujon, ave^e^uetil jiaurait qu’une jessemblance gros-
décrit a||gè biemA^/jiff^eqtestpart;ies exté-
rieqfeil il a; ^e^lemenfrÿublie deparler d e^ en ts du pan
la iC l l dûun| „s(ur "ses t Eabitud^ et sur fes moeurs des
dé|ail|.cuiieu^ et S e l s . Il dit qim ce “nqtit poisson peut
SB daW ^ ^ u x letidësV et même dans le,s cqyernes à la
^ ^ ^ ^ i e j t e habitude,(le;vivre
&W que rarement.
Frk p il^ ‘eme^ au pçinteçips, au moment des rup-
ku trouye lui-même emporté aveç
JgLgj'p-l- ‘k’eau^des- pêcbeûrs^peuvent alors le
prendre^bnfond u d’auçres^ppissons!
Sa'chair e g ffi|u \^ s^ tle é^cUe même desVomissements•
1. Marsigl., Dçn., t. IV, p.‘43,"pl. i3 , £g. 2.