2 8 8 LIVRE ^ X . Ü M^I^C O P JTîÉRÏ GI ENS. '
v . B. 23; D. 13s; ,A.J12;-C. BâJeR.. 4 3 y , '9.
Les écailles sont aussi g ran des, ?et la -ligne^latérale j i J le s mêmes
arbuscules. L a . co u leu ri-K feu m o m M s u r le d S ,é sT d’un bel a r ^
g en té 'so u S jfe -v en tre , su r l e s jo'ues e tç su r les op e rcu le s .'Eeb ^ô ’rd
memb ran eu x d e ^ ce t Vs n ’a’.pàs^cMté' ta ch e 'riQirè’fb^aJâ'clei'isli que
* clans l’espèce précédente^ L è f lïàgeoires dorsale et caudale' so n t plus
* ou m o in s -g ris e s ^ 1 lè s ’v en tra le s ‘so n t jauriâtresf '*
D’après un d e s s in ,q u ù n o u s a é té c tAm ^n n s '.p aEA G L ’H e rm im e r ,
il y aurait * quelques teints j a u p e s ^ p r é s fsur^les | ^ fflRes^>de~ la. nuque
et des taçh es rgu g e at£eS|STmJe b o rd.-du , p réoperculeyet-. à f l'angle
de l’op e rcu le . L a dorsale;,. J^ r éeridë^bleu'. ' sétait v e rd âtre com m e
l’anale ; .la^.çâudale et^lfe,y^en;trmes plombées. '
•> Noqsfnjgon;s.i aussi -dVtsj^Vhombye.üx individus dp^qptte
espèce m, L ’Hermini^ nôus^en ,u;,e^c^û^^|dWguati:e
pieçjLgun pouce,, mais^ft|rouvg dan^§p^jnotes qu^on ;,en
pêphe. à la* Guadeloupe (jui ont jusqu à,«.spMé,.,.piedsilde
longueur.
lijJVh Ri c a ^ . en.; a&rapportë^. d&^Sain-t^Domingue ...eL M.
Pl^jeur^t.^enyotyé plusieursHexemplàires de la Martinique
,e.Ujde Porto-Ricqiÿptous|c,eux-ei tsont ençqçe d’ass^àgrande
taille^^Tun trqisHp,qi|pu^cv5
.IL, est clair que nous savons „ sons..les|^ipûx l’e s r^ e . la
plus ançiennement^çounue^j car elle. est,^figurée^d’une
manit^e ttès-gqconnaissable;^nieui absous je^apjgart deflV
grandeur dedjoeil, par I^ar cgray^épjhsid^àn peut j.cpmtne
j’ai eu le bonheuiydq|lé faire^cc^isulter les-.des'sins^or-igi-
naux du prince-;J\Iaiu^Mde^^âss^t,^î.çp^sçrvÆ^iMan_s ,1e
Liber principis deVla biblio.thèqu,e„royale , de, Berlin $vô,n
est pnc.Ggjç plus,"frappe jdé ;L’exacbtude.|du,, dessin.
figure, moins dure que.Ia gravure en boistimprimée dans
Marcgravey montre parfaitement la grandeur des ,écaill|s
et la liaison du long - filet. <ie%la dQrsaJe pyeç la nageoire.
GfiÜFsVVli. -ÉLOPËS. 2 8 9
MàrcgfaVe? en^aldéjlivu de^ôHzV. à douze pieds de long et
de la grqsl^^Wuii homme";’cet auteur ne l’à jïls trouvé
,ag'fe^Mi^|ifmariner. Apï^Marcgrave, nous devons citer
iSp&ilture dp 'PlumierAntitulée : ATàuda argentea, piti-
nulacaudata ) vulgo savalle à: ia Martinique. !Nojls avons
d i i comment Bloch avait-«fait un riiauvais usage de cette
peinture: .Barrerè ^ signàl^’cettê^esdèÜèMâns Son Histoire
de la■ JAÀifce^éqîitnoxiale sëus^lehxom ffiApalike, en re-
^ohhaHs^aut dansdë pofesonhainsi dénommé-lë CamaripüA
guacu de Mar'cgrà'vé:!?Bfdiissohneÿf ces noms ceux
de Deep-watér-fisH^o^^e^Pbnd king^fisli dés Anglais
dè la Jamaïque :' cetteCderni-ére dénomination nous montre
que * le f'MegJTo^ d’Amérique vit -s dan&Hës&ëaux douces
c o m m e 1 celui0'dèWMde^lé^nom de Sa'vdle, déjà “connu
du;teièffefdë'Plûtoierv él5!?conserv(§We nôsqôprs dàhs nos
■ Cblolïiês- e t a- Saint-Domingue.
M#Pfeé)*:îÉous^%n à1 Envoyé-''plusieurs individus sous1 ce
nom. On lui a transpose f-'-dahV les Antilles^espagüoleè ,l
la dehominatioh^de Saballo, quieatçcèlle de VAlpSu'en 1
Eurbpe¥d^r£oW de nos Criblés -français tire^ son origine
de celui-ci, et Pluniier comparài^au^^^biss^fi^ l’Alose,
ainsi que léî'prémiëîîtocttd.é^sa phrase le^îait voir. M. Plée
dit que* -cVst un excellènt poissbh, que l’on'Vert trës-sou-
vènt,!sur les tables5;?il en a vu du poids de trente livres,
et à cé'ttë taille les Espagnol‘s ;de Porto-Biéb lui^dbnnertt
le nom de'Caballero.
M. L’Herminier dit aussi qù’à la Guadeloupe on lui
dbrihëCfe nom de Grande écaille, hbïïf que M. Plée à
aussi entéudu à-la Martinique. Il confirme qu’il vit bien
1. P. Barfère, France équin., t. I I , p.-'i72') édit. 1749- I II