gazeux, comme des ppissons le font dans l’Océan liquide.
Les m.ollusquesyflés crustacés.!nt-d’admirable' variété des
zoophytes, paraissent essentiellement aquatiques.
M a i s ^ n ’y a- aucune limite fixe et tranchée'dansu-ces;
partagés : nous;voypns^pért ain s mammifères çfestinés à "vivre
dans les^mer^,;stfns' pouvoirles quitter. Par puissance
de son^énie^créate^rpla nature a poûseTvéfej|ccés mammifères
les^grajids traits^de leur structure fondamentale;
elle n’a rien changé^aux appareils de la fcirculatiô’ru, de
4a respiration et même de la reproduction ; mais elle à
porteytomme dans les p o i^ ^ ^ ^ tou.te,_la idrcë muscuïaire
sur la queuje: La suppression* démembres pctôtçrieUrs a
permis ffêtencire la large-Mase du gpn|| fbrmé.'par lès"
muscles sà^^mccyglens ; elle a augmenté la solidité de leurs.-!
attaches par l'accroissement, dèCapopJiyses des vertèbres
caudMés ftelte’à? enfin, complue l’appareil locomoteur par
le|pyeioppe-ment ,de lambeau en tmé ïïttgepife horizon laie.
f Un petit noiiïbrt^de mpmmïfër és yi1 été 9|rgan is é pour
traverser l’i l f e fc Volant. On trouve^eh ëux( (fuéùpict cqn-,
ditions ornithologiques d|ns les petf|es,*;crètès* osseuses
éleve@|sur ledgjernum pour donner plus- d’épaisseur aux
muscles pectoraux.
l . , ^ 4es reptiJesjQe^smat représentés aujourdrhuidans le
"s.eih des e|ux que pàr^ quelque? chéloniens,'par quelques
ophidiens là ' queue verticale et comprimée , ou' pai\"îes J
p e tité&psp è.qès/de batraciens, cettèTclèssp. ipandmaux aériens
peuplait autrefois les. vastes bassins .des mers de^fel-'gigah-
tësqués sapriens.,Cepx-ci dcvaienfetre inoins.bons nageurs
quelles gfanqi'• cé d e 5 nt)tre âgé! îls le s égalaient par
laÿiille, mais non par la rapidité de leur mouvement;
ils avaient cojas^raé leurs quatre membres dn ,vertébrés,
changés^,§,n._ nageoires aplaties .enveloppées, dans une peau
épaissp, comme celle de nos^dauphins ; la nature avait laissé
leur queue,petitmét moins .d^^l^ppée. Tout en les faisant
nageurs; la,uature\avjiitVcousèrvéK4e^/conditions lentes des
rep?tilps7i,;!j
{J Lesÿajumaux ^aériens avaient déjà, fçdrnme de mot ré
ten|p^;lfourni quelques-uns ^dpsileurs au-groupe^des; animaux
aquatiques..
Examinms^ceux-ck;..èt-tvoyonS; -ce qu’ils’ont; donné aux
premiers. j^ôus Id^ltrq.uvpns Jqk^des, animaux de petite
taille^*vivaut!^)ç^cjiés4clans|Müàiidité d’uu épais ombrage.
,Q’est-par<'ceCgunre d e - vie qu’un^|s?èzé grand nombre
d’espàcés.de- miollusquesèsont deveniis5«aeriens. Dans ces
animaux sans T^eftèbpe? le-changement de l’olgane branchiale
n une^ayiM^^pmstituant ïjplp ôum on aerien du
mollusque, n’est! pa? à-beaucoup près aussi grand quelle
serait la métarçon>||osè > d’une '! franchie d e , pdjsson! en
Icellules^Yasculaires et aérienne^ des mammifères *ou des
oiseaux, ou-réeiproquement.
-!.;Lèfe^crustacés nous offrent’ aussi l’exemple dé quelques-
uns des leurs-,;yiyanl en animaux ‘te?rrèstrès; mais le nombre
en 'est -;peu||çonsidéf^mWet lëu^M'rganisâtiou n’a subi
aucune modificatio n|Mssen tielleslae. ||ptte d iffère n c id e ,
séjour. La même remarque sffppliq.ue aussi aux insectes;
qui envoient quëlques'ès^èces dansde'groupe dés animaux
aquatiques.. _
^!^intenant;|?si mous examinon? au;m||mé‘ |)oint éfe vuë
le^^ispiiux,,-d’une part, et les"^Bissôns de l’autre, nous
lié tardons pas à^econnaître^que dés* deux groupes Sont
phjs intimement fixés au milieu qu’i||doiyent habiter. Nous
ne ^oypns plus icl||p|exemples d’emprunt à l’un d’éux
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