CHAP. V,II. É;LOPES. 281
^ son oeil ’ le no.m
g é n é r iiju ^ T n a g in ê p a p ^ o m m ^ o n p o u r d é s ig n âm e s pois-
^ R s t la ju l 'L i^ K à A g ^ L M éffe d é ^ i y . c t d e s s in é e p a r
H H
Le corps pOMégalopè ressemblj^en, quelque sorte; à un 'très-
grar^hareng ) s<® profil ^périeur, est|,pçe(sque, rectiligne ou très-
p e u s o u te n u ^ ^ f’érieur/jau contraire^, est arqué; la hauteur du
, tioni'.mesurV Je ciuqu^ne^de),la Ion gueur" tgl^le^ et est précisément*
égale'a la longueur de la ^î^dale ; lépaisi
squ^Æl^fi0^^ri^e^^^.x fois a fait| une demiç aans cette
1hauïéiw|%a Ion gueur de la^ tltmsurpâss’e d^^pès-peu la hauteur du
d ian u^ flé^ cp iF c sU a ti'ès^-peu d!ë ch o je^rè s égal au
* ir€fiîs^d*e%â lo n g u e u r '^ e la jp i^ ^ i è r ^ - î ’in^rfâlle ’qui sépare les
deux y& x^ fa it les 'deux tiers de ,leur, diamètre; une paupière adi-
’pguse, qui ^ vanfe^ l ^aîTé^tMp^u'^ur Jâ^gprjiéé, en4-rétrécit le
- dis quet ^‘C^felpau pièce s e pOTte eiuaHrière j us que survie bordjj montant
'du pféopercule. Bept^pièc^^qomposent le sous-orbitaire ; une
première, presquelentièrement^^^boesscms la paupière^adipeuse,
1 '^st!aù^d|vam a e l ’oeil ,^ntreAçKtîo|gMe'et le maxillaire) un ^second e
pièceffeÊTItro^téj'Ùdnge le a ^ s p ^ fcie l ’oÆit|; c’est la troisième,
grande et ^quadrilatère, tjui Repasse le maxillaire ;'le§ trois autres
plâ'qlïea'’sd^^rhoml^icfa^^comme 'celle-çi, et enfin la septième
rembW^'suf léWJP’e d 'eS rb ite , e t ’j||ne m'étonnerais1 'pas qu’un
| icllt%plbgis^eJne“ la coiisinérM’corumé un sourcilier :$ejle me
parait'çepen^danùtrop recul âfjppur prendré^çe^pnt. L e préopercule
a , fbnrûe^en arrière de ces ^^jiheltiièÿ-lar ge plaque arquée, mince
% conirne une é c a ille membragm^ g | e tÇü vient ’ cpuvrir une assez
grande partie de l'opercule) et dmfous'-ÎQperculè ; ceux-ci presque
^nfondutf-sofe aussi mince|| tm-dëvaut d’eux est un interopercule
triangulaire assëJlarge, mais' court. rTo!Pte’s ces parties sont enduites
' ;d un^pigmenit^argenté, qui rend la’ Joue des plus brillantes ; ces
teintes /l’étendent sur le-maxillaire et sur lesîbranches de la mâchoire
inférieure) Mais k^ sym^SWse et l’extrémité supérieure du
museaarsont couvertes d’une peau mince et noire. Les intermaxil-
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