les diverses» branches cÈe l’histpi^e naturelle du produit de
st^génbrèusès ÿôilé^tions, l’espèoçv remarquable qu’il a
ràpportéê;>(ies, < ^échelles dans ,ün parfait état de^conser-
vaHogn. ™
pwfcéllè-d a le corps plus allongé'fet plus, quadrilatère qu’aucune
f'îautre; l'aj Mauf^lln^étaiit' égale â: l’épaisseur,i;;est'>cdn^prisé huit fois
■ dànâ jle jcp'i ps hrOeptue entre l’(|uijej^t| fa^audale dessu&^du
,v crarie<est7aplati,■ }élrec'i en .ivapt; l,e;hec'Mperi^il^v est en' o^ive
Mppointù'e; le 'fine «toé tieuf cs^unc'^Wîe de lame triangulaire,
>?1 lai ge a iiasi» dans lajlongueur totale.
Je remarque sur Æ.et'md)vidu,iMen conser^ , que le ’bec est bordé,
le long"d|f&es deuSyÇflfoes,' d’uhetésptèe;j3è’‘Mvre'milice, et qu’en
dessous,;]aî peau! formëraït^2un.e^so^te dé fanon indu , qui rie doit
pas dépendre de la macération du 'poigçfii dans l ’alcopl. Les dents
sont d’une fêltréme Finesse et mmrne dé simpl«s^ranulations,4L’oeil
est,assezjgpndP; le éd®,-^|bitaîrefst plus régulièrement quadrilatère
In qiiT- d a r^ ^ ^ p è g é s a i^ ^ W e s . La1 pectorale est larfp||et peu
pointue ;,®l^mrâlè' est coupée 'carFetnent ; la ^caudale’ est',fourchue
en c ro ft& à r iS ls d sux lobes,sdnt à peu près égàux ; la dorsale et
l’anale' soni Basses et allongées , *'
D.' 15; A. 15.
Les^écailles, sont de grandeur-OmOvenne. sha côuMiif est verdâtre
sur ïè fd o s ,' blanche^etVrgenté“ ’sur le-ventre. Un trait rverdâtre
* ’ parcQÜrt^îa' Ionguèur'm^yènne dïf flànqçn bardant la bandelette
argentée; le bout;du b jc èst d’un beaiisçOtige.
L ’individu rapporté' par M. Dussumier a dou2;e poftees
et demi de l ig u e u r ^mais^et obsexvateur erî a vu d’autres
ençore p|ùs\longs d’environ quatre pouces. .
-;jCes habitans dèsîpëchelles, et surtouti-nos-matelots fran-
çaisîf ont:|ian^p'orté ^tber-poissdn le nom de Balaou;;c’est
;la déirominatian vulgaire des hémiramphés' dans toutes les
Antilles franîçais|'S.:'Ge pojikon est bon à manger.
B sé W m m wiBÊBÊÊ 4