maxillaires mobiles sur les côtés, a,de petites dents en
fines scabrosités sur ,1e bord/:de j&es deux os : il .y en a
aussi sur la mâchoire inférieure, sur les deux palatins,'
sur les deux.ptérygoïdiens, sur le chevron du vomer^sur
le sphénoïdp,3*sui: l’os lingual, suçjos hyoïde et^sur les
pharyngiens. Les ouïes,, très-fendues, ont une membrane
branchiostège étroite--,'soutenue par un nombre de ràyo.ns
considérable, et qui varie. "selon^ês^ffipàflèsV de vingt-
deux à vingt-cinq.;XJn o s ~s q u s - maxillaire existejgntre les
deux branches à la mâchoire inférieure et ést soutpnu-^a-r
un repli de la peau. L ’oeil est,généralement grand, %yec
une paupière adipeuse épaisse,, gs£i ne; sa vanpupas^Ê;§pe n-
dant beaucoup sur la cornée, mais qui^ô^u^re^en arrière
plusieurs^des pièces sous-orbitaires; la dorsale* est, petite,
s’abaisse vers l’arrière; mais lè^dernier rayon* sè,prolonge
efivün long filet qui atteint presque'à la cfïudale. JL’jçsto-
mac est assez .lafgey conique; le pylore a :;dë nombreux
appendices ‘ coecaux grëles^t, filiformes. La îveslnej aérienne
:est grande, bifurquée en a y a n te s deux cornes^sqnt très-
©ourtés; un conduit pneumatophore -s’ouv-rk« à ,s%ipartje
antérieure presque dans le. .pharynx.
Ces caractères montrent la très-grande affin,i]^|qm.,lie
les Mégaf opes^aux Ëlopes;--Comme ceux^mr^Aesiipoisâ^ns
du genre dont nous traitons,-ientrent dans,les eau>x douces
et paraissent même se tenir |âns les étangs 1 '
L e Mégalo,pe indien,,
( Me'galops iüdicits il ôW.fâ’-
Je commence la description des? espèces; genre
par celle des Indes, parce quelle, mérite mieux que l’espèce