CHAP. VI. BüTIRINS.
angle ass^a igu au-devanti!if| l’oeil. Les frontaux deviennent bombés
| ’lësjearènes caverneuses, internes sont relevéés, assez étroites ;
Jcè qui rend la gouttière mitoyenne» creuse-et peu large. Les cavernes
ogiv^l^s sont larges, profondes et arrondies; elles se rapprochent,
d’a illeu rsa sse z de l’aplomb de l’oeil. Les os du nez sont grands,
;et la lame externe assez haute et longue. C’est la seule espèce sur
|Haquelle jé trouve deux particularités énoncées par Gronovius, sa-
n ,ÿ o ir ‘ : qu’il y a trèizé" ràybnsf Ji'la membrane brànchiostège d’un
’ côté, etîqhe le lqbe;'sttp,éri,eu^>sde la- càüdàle ést plus long que
l’inférieur. A la vérité, il n’y ai ici qu’un septième* de différence
entre les deux loïjes~, Gronovius. dît cependant que Pun est beaucoup
plus grand que-l’autre. La membrane brànchiostège droite
n’a, que douze rayons. ,
B. 13 — 12; D. 18 ; A» 9 , ejte.
La coùleun ç&i uni ^argenté plus brillant et plus blanc que eelui
de l’espèce précédente. Frais, d’après/les ^observations de M. Quoy,
la partîeFsùpérièure et les nageoires/ont des reflets légèrement
verdâtres1, et la dorsale, ainsi que la caudale, sont à peine lisérees
de n ô h v lW bords de la bddche^om d’un roüge lié&fe vin, et les
narlÉèsa^nt dans un enfo^diê'mënt noirâtre. Le museau porte aùssi
son petit chevron noir.
Ce poisson est .appeléYpaâides indigènes de Jÿmgatabou
kiokio : noip (pii semblable à celui que je trouve
sur un dessin fait èdBorabora par M. Lèsson : il appelle
son-t-^Ê^ôp^ioio. naturaliste n’a pas rapporté
Torigin&l, je ne puis emdë terminer l’espècë avec précision.
Je’rQX/di|f cependant qu’on la! trouvera différente de celle-
cÊ quaridltdes jchthydfôgi^tesitipurront l’examiner. La tête
seraitiMitfYefFet beaucoup plus arquêé^les lobes de la caudale
plusî-ëgaux. La couleur« serait sur l’opercufe un argenté
brillant, mêlé..de reflets cuivreux; l’oeil noir aurait l’iris
jaune..'Je nosefèp^ dire/davantage^surrlce poisson, que je
signale seulement à l’attention des navigateurs.