Le Mo^rmyre d’Hasselquist.
A p r è s ceS éàpèGeS d ?o x ÿ rh y n q u e s , j ’â r r i% f^ u n m o rrn ÿre
d o n t la ,d o r s a lë le sW en co rp |feD gu e, to u t le
Rdp|i|
Il a le nmsèau gros eÇ obtus. La mâfihpire syp^êûre-Jlepasse
un peu * i n fé r ieure. La li^t^Au^pcolfil .est convexe^ct soutenue
^ ^ ep u is Pe\l rémité du museau jusqu'à la a pr saler.'lj (^il rP gfiff’ sur
le haut a'|¥ià|^^ ^ ’est au tiers améneüf®e la longueur* de la tète,
laquelle6 surpassé un'peu laffiiau.teur du noné',' 'et e 4 vcomprise
quatre dans' la Alongûêw ^ u H~eoti3s7^nruë 'comptant pas la
| caülîalè.'?-?
Les dents sont petite&kà :éPüronne "écKàri^Gi^&^ét. mobiles dans
H l'espèce xlejlçgfocive épais^ë^^irles. pprtel~|_(^ f c 4^u^ùpuse de la
bouche, re.nfl.ée derrière-les deiU^est^ u y erte .tjg .papilles nrolles
' et tuberculeùsès que l’on^çQjifbndrait"très-aisérnc ni . p ' o n t ' b.iiidc
_■ ^etràïïe^âe <îents ^ïifférenteS des y^tables. jp^^Slàfines eCTe^m-
guales ^pïMsféht un peu plus saulanrcsqu® é lff^lS u u tic s especes
Les narifref^iô’iit très’-pefijétf les deux o uvertu ré’s ‘sont ^Lutlés5' obli-
quement. IPouteffaj?pêàu^de~laytet^!:è,stf^ribleéyd^yêlit's,^l(itës. La
d0Fsale<côWmence vefs le tilçs" anrèriteur du corps,; elle’ est .plus
. haute qu&viéelle das oxy^ ^ qües^L’ai£ale);esV<au.rte ; la ^pàctQrale
atteint à^peu près à la moitié de .l’espacfe^uiI^sénamd^.l’ipseiEtion
~ - des ventrales i fcgHes-ei répondent au quatorzième rayon de la doj^ale.
■dD^Oi A..l^ tp: ; ^
Les écailles sont, plus.grande^lfdong (fesiflancs, ;au-des|pus, de
la ligne latérale que sur le d o s-oü sous le^ventre. *Npus .en comptons
^ c e n ’t <punze rangeeF3ntre l ’ouié e t .k caudale. L a ^ u le u r y s tu n
plombé uniformê sur le corps* ' prenant qùelqûès' leintes* Ver-
dâüres^uPlF'nkfëbife^^^^!là^ dorsameist rayée-oblique-
* ;ment de petitS^lraft'^plbmbés.' Les® joiîe^ sdhtvchatoyantes et iri-
- se'ès'dejaune et de bleu âvèc^des reflets fdorésfe^P
ï^îDans 'c e ^m o rm y l^ je r r enco re 'd e s r viscères semblables à
ceux du .précédent; en ce*qui•’cott’cérne la fprîne du foie, c.elle de
l'e s t ç ^ a c ; unais les deux • cæcums, sont proportionnellement beau-
’.c'grfp plus/Mhgsï|Latvessip^natatoi^e-ces^ grande, résistante et à
'pajrpis fibreusçs.fî'jl
Q u an tau sqqelette,- juegpéfieère ,1a même composition du crâne.
L ’allongem.êkjlÿd'U rfiuseàji,;'dèlfpïf^^jiÿlindrique, est dû- à-'l’eth-
m.pide saillant au^dévant’^des angles antérieiÏTs' ‘dés frontaux. Les
Jôs'ldu }nèz, plÎL^jen’T c o r u e t , y s | ) n . t l e s i p m i s - o r b i t a i r e s ,
un peu plus l^reesblls reri<!|ènt lefâstfùseaü plus jgrbs. Les surtempo-
raux£ fo r mehrapi un feuillet'S(patunifo»me" plus allongé. Le nombre
, tdes'^éVfebfM^ia^ést ‘'pià| "tr^s-lldïfférent ■ de;*pë;üx1 des espèces précédentes;
«’càrij'ai compte* cinquante Vertèbres, ddnt vingt et une
sont abdominales!1
t*||Nous avo^is plusieurs individus qui de douze à quatorze
^ptottc^j de longueur.-
' ^Selfi^Pp^èçe^a été parfaitement gravée1 dans le grand
ouyragëf®É^ypté, d’après uneSrelle peinture,.que Redouté
enrayait faite i n Égyptë;| | fe iGeofFroYi:eut a vèç> raison le
sentiment que^e^n|brpayr.qjetait jioù^au^ët~il eut la gé-
tûére^fe pensel l de le ,dédier à Hasselquist., S’il s’en était
tenu lancette.'^espèce nouvellej^pe^fefcile à caEaetériser,
eut%;é ^parfaitement établiejl mais il aFcruï péaVoir retrou-
ver. en élle'deî^or/Tryrn^-caschive de êê&aùteur, qui a,
ÏGômme no us. l ’avons déterminëflquatré-vingts rayons .au
môins^ lâ^dorsale ï^|eelui^ci‘t fë it ayant que soixante-huit
oufsoixante ndix ; M. Isidoté:Geoffroy les compte comme
nôusv ll ayait d’ahfôïd|pensé , en Égypte que ,ce pouvait
êtriple hersé de Sonnini 5 mais il a reç-Qpnu depuis que
le poisson déçr.ijtv,par ^.om^pré^é^^^f était différent. On
?en acqüiej^la preuy^pan la lectetre\i^ie l’articlé rédigé
pan ]\|^Isidore .Geoffroy-Saint-Hilaire. Cependant M. de
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