LIVRE XX. M 26 A LA COPTE RYGÏENS.
des écailles nüchales mesuré lé septième de la longueur totale du
poisson.'Les yeux ne sont pas sur la face supérieure de la-tête; -mais,
cependant, ils sont assez relevés pour que
touchela ligne du profil, Gélle-ei esteonoate, ^extrémité dû museau
et la nuque étant un peu soutenues. L’intervalle d’un oeil à 'l’autre
est égal à trois fois et demie le diamètre ; il y a plus -de deux fois
cette mesure entre le bord antérieur dei#orf>ite et d’extfémkë du
museau, et treize fois-au moins ce diamètre danslâloH^eü^^diale
de la tête. Les narines sont percées plus près du bout-du museau
que de l’teil, et tout à fait sur ltf téïu; l’antérieure' â utreïpâpille
tubuleuse. On compte cinq sous- orbitairfes, dispù9ésJde lâ mârtïère
suivante s le premier est situé entre la AàcàJfUiéPè'^gt^deîl^ tout" a fait
au devant de lui : son angle, interne et-postéiieur, remonte même
au-dessus de l’srbite. Le bordfcantérieur de 1%# est mince et -lîffl'peu
sinueux, et ne cache qu’ünè très-“petite partie du maxillaire; qui
^s’appuie plutôt sur lui j- les eeabrosités de «sai eurfaci lafescut&wir,
après le dessèchement , une grande échancrure supérieure, dans ftrc
de laquelle se place la narine; une secondé*,"antérieure, ’répond à
la naissance du maxillaire; celle-ci est-suivie, sqi? le^mêmè bprdj.;par
une troisième, qui répond a peu près âu ihilièu dfelios||pü'is vient
une derhière échancrure, dont les ’fiords'sè'réunissent à Un' sinus -
correspondant du second sous - orbitalrpf fit qurforme^une1 partie
ovale, 'recôuvêrfô d’iinc peau lisse j uü&! seôbûdn échanériihd'timle,
plus étroite, pointue en arrière, ^ fëiLpr^Æfirbàid dh!<Sép®nd
sous -orbitaire, un peu au-dessus et au delà d e l’an gfe de là camüais-
sure; ce second sous - orbitaire, est de forme triangulaire. La plus
grande partie de sa surface est ridéffde- fortes scahrosités ; 'ÔU “petit
presque dire qu’il ne touche pas à l’drbite. Le troisïènlê StoüS-orbi-
taire ne tôuche à l’oeil que par l’eXtéefhité d’Unë softè de stylet
osseux èt rugueux, qui remonte lé sion g dû bord' postérieur du
précédent, et le dépasse un peu; ii Sfe pôrté èn arrière lé long'du
bord iufiffiéar du prëôpéfCule$ eü formant üîiè cüiYàsisé au« bas de
la* jôtié. On né'Vô!% âè pêatt lisfeè 'qué dans' rare''antérieur qui le
réunit âu quatrième SOUS ^ orbitaire ; celui-ô iè s t le plü§ "grand de
tous : ir cdu#ê pré'sqtié t&uîè là joue",J càr il se’pô ffë jusque |prs
«GÎHAP. ,‘BX. VASTRÈS» • '
■ le bord montant du.préopeppuje;retil remohte jusqu’auprès des os
ftdu' crâne;-il y ^de r r iè re -’l’oeil .une caverne oblongue, recouverte
par.une peau adipeuse,} qukdessine un des grands ovales que to n
remarque«™- la - joiâfe d e , l ’animal ; oe,quatrième sous-orbitaire a aussi,
ehurriène,-(Une échar%Uré assez' grande, q u i, en se joignant avec
celle-depmàstoïdiensÿ forme idansu^tte région temporale la plus
grandmetda plus«inférieure des parties lisses de ce crâne. Le cin-
qnièmefsoUstorbitaire-Çerne-ila.plus grande partie du bord supérieur
de l ’orbirie.vPrèsqüe: toute sa surface est rugneuSe«; il a cependant
deux- grandes, échancrures; futaerpour cëmpléterÆ’ovale qui existe
derrière l ’oeil, et que^e viens déidécrire«;'d’autreptQUf cerner, avec
le frontalqwinoipal'«et ayèe le quatrième sous-orbitaire, la partie
•lissey supérieure« postHorbitaire delâ:jï$.iae. Les os duerâne, sculptés
depr©fondée soabrosit&s' ont aussi ees cavernes recouvertes par une
peau Kssey toutes de forme elliptique, etxque l’on peut désigner
taki'spîdl',y a i a deux antérieures, - 'rapprochées- l ’nne de l’autre! et
ethmoidiennes; deux patres*, plus écartées.et plus longues, ce sont
les: sourcilières, amierjeures, ; |puis d ç u x ’UuUes/rapprochées,(aussi
allongées que<:.éës' dernières, et que je-Homme frontales; puis,
•surcfiarriere du crâne ’nous'en voyons 'deux,' tr$s-allongées, 'les
temporales; puis ëfisvi^nejnt deuxiamresyplust'ooOTtes,' qâe j’ap-
pelle occipitale^, « qui;- soUfiséparées l ’une de l’autre par une
impaire!/ ,qui doit Têppndre à^rinterpâriétale. Il faut d’ailleurs observer,
comme je l’ai fait pouT,l’a|jtjie'espèce,,que parties ne peuvent
se voir que sot l’animal desséchéÿll est facile'de juger que le poisson
dèit-avoir, pendanusa vie, sur toutès ces parties dwerâne, une peau
épaisse et muqueuse, qui rtfnd la tête entièrement lisse. Le préo-
perculè-aaussi quelques parties osseuses, saillantes et rudes; mais,
cependant, presque toute sa surfe.ee est couverte d’une peaû épaisse.
Le bord inférieur esche presque en »entier1 l’interopercule et même
la plus grande partie du .sOus-Opercule, ' lequel est lisse et petit.
Quant e l ’opercule, c ’est une« grande plaque osseuse en demi-cèrcle
très-arrondie vers le haut ", donjt toute la surface est ciselée de grosses
et profondes stries rayonnantes, et ^ont les carènes sont tuberculeuses.*