êtnsans q plein pût lui faireil^ moindré;;r,eproche ^s’il neût
adjoint à ses synonyiùies la figure du.ppisson;de Bentam
prisé dans Renard.
i^qî'Bro'Wn ewYUribarana de •Mar^gîay^^oiü^de
Pison, a ppartieûne ûtîs'arp' aucun do u48%ûx| p oiss© n s ld u
genre dont nous parlons; maisjla p|t^on^(|^Ren^^«ne
s’y rapporté .plus dû^tput5clle^ss^cjàlp d’un poissonjdqorit
plus haut, fo^éfimal ^co nnu-^ps mat ür alis t es-y *dqnJ^J|qpter
et Forskalont fait un mugilr-et qui cstdfê^pÊp1 dahssM. cle
Lacépèdé-le** type des 'Chünos y igén¥e auteur n’a
certainémentjpa^Gonnu, quoiquileneût rédigé.la.-diagnose
génétique en la "tirant d^ï^rsjHak.';•'
Mais, ën mëme<ternps que Mo ch se^servait dû dessin
de Plumier pour l’établissement de XAlbula Plumierix il
faisait figurer YUnbarana de Maregrave.parmi s}£s dupées,
sous le nom de Clupoea brasiliensis,s\et il placarda Macabi
de Parra^ qui est certainement du même genre, dans
celui des sous le nbm à'Amia immaculatâ.*£ -
wCes esp^celmôminales ont été ^rapportées, aup'genre
Butirin avec une " grande sagacité^par M. Cuviërf rnâfs
confondues toutes ensemblëtebus une sefilê espèce.^et avec
celle de l’Ile-de-France' dessinée/par .Commerson.^ Le
dessin de ce voyageur, se rapport e;à YArgentina glbsso-
dontà de Fôrskal, laquelle est différente Ae 'YEsooc îargen-
teus de Forster, quoiqu’ils soient* tous deux -du mêine
genre/1' =
M. Cuviér* a pensé que YEsox 'vulpes de Linné était
du genre dont nous traitons. QeY'Esgof vulpes paraît dès
la dixième' édition : Linné lui ■ donne trois rayons a la
membrane branchiostège, .et’ ;cite, pour ^appuyer ƒ on
espèce, le Vulpes bahamensis:de*Gâtqsby, tome II, pl. I,
fig. j.. Linné, sans .y rien .changer, le reproduisit dans la
douzièmq|édjtfon.
., ^.Çt^yier âjete qbjfigé de supposer d’abord que Xijinné
avait reçu sqn pois&p^yle QâMen5 44 (îu® ^ grand naturaliste,
4uédç|ig nç ’dit pas,,, quoiqu’il naît jamais manqué f cjç
citer^on celçb^rç^cqrrespppdm ; ^écqn^lçn^entj, que Le
membrana triradiata^sprait une .faute du qopiste, et qu’on
av^teypulu, écrire treize ràyqgs; enfin, que Linné aurait
décrit un pyprinodon;yJ,t qu’il nuraj.^ cité une figure Représentant
un poisspn d’umgenjre touti? (Mfére,nt.
( ijJf’avoûe qu’il faut donner à l’interprétation des fautes
des dessinateurs ou aux lacunes de la description une
latitude!:îii;ènkgrande pquKpartagèr une opiniqn d’une si
grande, autoritép je ne concevais, pgs çpmment un dessinateur
qui auraiCeu.nq|re poisspn.sous les yeux, aurait
f^ic à, la hqqche upe^jjeqte ssaussR|jl|irg^ l’aurait armée de
débits aussi, grandes , auraitfpu représenter un.e langue aussi
iëûàjsSCj aurait fait une dorsale .aussi basse et aussi petite;
d’ailleurs, Catesby dit, qpn Ja* fente de .la bouche est assez
langue ; qu’un rang de petites dente, pointues garnit les
mâ çho i^j que] la couleur'est jaune d’ocrè sur|e^dos; ce
qui ne .peut, en aucune m . s’accorder avec nos Butirins.
Jé'pensbque'la description, tout insignifiante qu’ellemstf,
signale cependantidesma^açtçms.qui doivent éloignernçe
Vulpes bahamensis des Butirins. Je ,Rega^p|v encore le
poisson deî.Cptesby ypqmme un de ceux qui nous restent
à. trouver, mais qu’aujourd’hui je ne, puis déterminer.
LoVsde| a rëdactio'nti^ d h Hpremier mémoire, ÛI. Cuvier
avait teu l’ÏMention d e S ^ ® e r . le. noûyeau gqnre qu’il
observaitppus le nom d e niç^sodêrite ; mais, ayanj; depuis
reconnp qiie^P^^Æs^teg répe ndaient parfaitement aux
S * 1 ' '