CHAF'. X. UËTÉROTIS. 5 4 5
en-ttè, lekgpfôson de M. ;Ehrenberg| et celui du Musé© de
E^anç|brt.-Je ne siri&^sur quoi “/Pe* savant voyageur s’est
appuy#'péur^rëdiger• cet^e aës5er;tion;pelar mes notes portent
précisépaent let-contraire,
^ ’H ste rS t i s -, d’A dams on.
( ffejiërntml^d^nà'om. .;npb.j | ^
De même que npids"vc^on§^lus^®ySUùrës,‘dês Moh-
myreitôt'le 'Pbl^tfè|e^èpr-é|e^téMdaü^e Sénégal par des
esp^^lvdi^a^ de celles du ]^g^nOus trouvons dans l’examen
deS ||Lérérotis une nouvelle preuv^M’affinijté*j mais non
d’identité’entre les, d|p'd:eux?fleuves1. 1
' WousFne cbhnàisfmis l’Hetérô^iè? d u Sénegâlr que par une
peau conservée^©© .herbi^^et rapportéejpâr' A dan s on ; mais,
té lé quelle e'stÿrfO.us,pouvénsfcai^|#éciêrj§UT|^èt;exeniplai're
les-, cartf distinctifs de^ céf^deux espècësfvoisîrïe's.
L’Hétêrotis; du Sénégal a les sous-orbitaires p lus étroite* le bord
' montant du prêopercule plus d rq ity i’operculé1 est beardp&Up plus
lisse, un .peu plus la rgéy ë|||Tè la s : la dorsale est beaucoup plus
longpe,- Car sa? longueur portée spr, d’anàfepe laisseAiue deux ou
trbis rayons apres elle; la peç^Qrdfe (l^plusrcourte; les écailles
paraissent plus-' înibfëes'éi- plus^^eiOéiufeiSele^.1 -&e p é u 1 que l’on
âjj yoft des sutures' dés1 os duycrâne offre. quelque^ différences. Je ne
doute pas que quand on '(î écrira comparativement; Tes deux squelettes
,.ce^ différences spécifiques- ne reposent sur un beaucoup plus
grand nQmbre.de captctères.,,
La^peaiî ^ô^sëiivée; p^f . Adanson est?, longue d’un pied.
Elle porte cette nott|s,ous le n.° ao3 B 4 4 ses Observations :
Vastnes:des Oualof; poigspn,d’un nouveau genre, appelé
Vastxès par les N/ègres du Niger (le Sénégal).
Nous ne savèns Tien. d’autrù sur,cê poisson curieux.
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