L e B u t i r i n d^ B ors^ îràJ \
<f [(AlbuîaForsieri „ nob.)
Forster a laissé dans ses manuscrits la description d’un
Butirin qui me paraît d’une esp^eefd§tincte de tous, ceux
dont nous" venons ,devious occppen-J’ai pu m’aidé'rpour
arriver J à la détermination, de* uÈ&og, argenteus&Èp ce
voyageur, d ^ l’insjje.clip^.du l l p sin, t conservé Bans* la
bibliothèque de Banks; trou^, quelque chose
.encore <l,e plus cert§in, puisque Je-Muséum p@f||fle maintenant
l’original même idj^OTStèrf, qui ;avait'!eté.‘donné. à
Broussonnet partir ^o^eph Banks , et^queUa Facult%^.
Montpellier avait envoyé/à M. Cuvier., CL poisson diffère
de ceux que nqjl.è.-venoî^ delBiièMre..;
parce que le jnqseai^nous paraît plus effilé-; l’intervalle qui sépare
les y e u f .est plus étroit,,ët le x o r â | , en général,?$es.t plus lcmg.( La
dorsale est entièrement é c a illeu s e j^ e^ ^ è tw e îe rapproche de
notre A. neoguinaica , £t,*lè idistingüe de VLm.v^m..àeminudà- ’
La couleur paraîtrait avoir ^ é argeiîige, puisque le" saVantnatu-
raliste, jc&mpagnon-du capitaine^Gook; le nommaitÆsoJ? argenteus,
et que, dans sa description> il ne pàxle plqs des couleurs..
Nous avons compt^aVe^oinieà nombres de la membrane
branehiqstègé , et ils sont^ comme dans ms autres
espèces, de treize d’un côté et de douze deTaütre; Forster
lët indique au nombre de quatorze*et Be treize, mais il est
probable qu’iïaura îai't Émirer le sousbpercule dans cette
addition; légère erreur, quil éstrttès-facîle'depbmmettre.
Les. naturels d’Otahitiont dorme ce poisson sous le nom
ae MoTtée. Én parlant des Galaxies ^f'fai; déjà eu occa-
1 . Giiv. e t V a l . , H is t. n a t. des p o is so n s -,# . X Y I H , 'p ? ^ ? p
sion de dire;que lÿ sÿn ony ipie\in;diqüée par Fprster dans
sqn Yqyag^ avait ét'ë:confbn|diâ^Wv^c* celle a e YEsq x trut-
taceüs. ScKneiderJ qui aperçu de la confusion faite
par Bloch j'reproduisit la description de Forster, en indi-
quaüt’\(jue^cët Esoæ truttqtâus devait prendre rang dans
le genre' iSynodus,;jasgociatiôn qui J c îmme je, l’ai dit pré-
cédèmrngnt, ne fai^W qu’ajouter, à^la,mauvaise conception
a é jjn genre. L’on voit que ‘ï^ô^^er*, et peut-être ‘même les
matelots qqil^tai^ent'autour de lui, ju g e a n t Jttès-bien de
la ressemblante,NÎlu pôi&jBn qu’ils pêchaient a Otahiti avec
éeux .que g||> mêmes hommejraygient rencontrés sur les
côteSî-duia Jamaique, puisqu'ils leur appliquaient le même
nom vulgaireBe Ten pounders. Toutefois, en se rappelant
la ressemblance d’un Butirinléfe d’un Ëlope, et éri‘;se .souvenant
aussi que Sloane appelle çë| dernier The pounder^,
il V’S f pas difficiiel,de , reconnaître que, par une faute
d’impréslipn, on a écrit Terî' au lieu.de l’article The.
L e B utirin conorhyNqùe. i
A l b u l a j c p n 6 r h j n c h u s y Gronovius et^Nozeman.)
Il m’était impossible,, d^savop ce que pouÿait être le
pq 1 s|onjcfepritsèt figuré par Nozemanfs^ns l’extrême obligeance
de "mon aqii. M. Schlegel, conservateur du .Musée
de Leyde. Il a bfenjvÔulu m’envoyeraa traduction fidèle
et complète du textè de la description du naturaliste
d’Amsterdam, et^ le calque deda figure. Ce travail est
inséréfçlaris un.recueil hollandais fort rare à Paris. Il résulte
de cette description de la figure "que le poisson dont
il y est parlé est un Butirin.
Il me parait-différer des espèces examinées jusqu’à présent, par
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