égale àu cinquième, de celle de cgil jsxp e tity çaM§on
diamètre n’est guère que du sixième de «cette même longueur. Un
peu au-dessous dq ltajl^etéprès du borddu museaju .existe la cavité
nasale, dont les deux «orifices sont très-petits ét rapproches l’un de
l’autre. La bouche_es_t,une fente presque linéaire et transversalej les-,:
lèvres sont moins épaisses^ë|;moins^gar;n|esidJjf)apilles que celles
dès autres mormÿres. »Les dents sont d^Ileüijs »comprimées ,et à
couronne échancrée comme celles.de toutes, lesjespèçes-précédentes.
La dorsale de cette.espèce ej>t de moyenne grandeur, et^-i^ès-peu
de chose près aussi étendue que l’anale. Lahapteuij des-prerniers
rayons de la nageoire du do.s est un peu plus considérable' que les
correspondants de la nageoire de^’anus.'Xes ventrales sont pe}.ïfes;
les pectorales touchent à leur insertion.'. ^’,
' D. 34 5 A, 34,
Je suis parfaitement d’accord, avec M. Isidore‘Geo'ffrôysp.qur cette
énumération. Les écailles de ce tte,espece« ,s ont assez égales et plus
grandes que dans aucune autre espèce. Je h’en compte que soixanle-
huil entre l’ouie et la caudale. La ligne la.teraléfTest droite et. tracée
à peu près par le tiers' de là hauteur du trotte. Quant auxicqmetîrs ,
le fond est un "plombé ^reflets‘bleuâtre^, sans aucunes taches' stn
le corps ou. sur les nageoires. ~ jg
Les viscères du Bané sont semblables à ceqx des autres mbrnaÿres.
Je trouve seulement leurs cæcums plus longs et1 coorbêsiautôur de
l’estomac.*^
Quant au squelette, s’il né présente pas de différences» génériques,
on ne peut nier que le crâne ne soit en apparence fort différent de
celui des autres mormyres-.-En effet,-dans cette espèce la saillie du
musèau n’est plus-faite.par l’ethmoïde; cet os, donnant au contraire
la hauteur'dé cette partie de la face au-dessus de l’ouverture de la
bouche. Les os du crâne paraissent,-d’ailleurs, comme caverneux.
Si J ’osais me permettre des comparaisons que j e regarde, commet
forcées,- je dirais que les Banés^sont en quelque sorte aux autres
mormyres ce que les sciènes sont aux perches. Nous avons pour
frontaux des os-cdürts, étroits, surmontés d’une crête mitoyenne,
donnant naissandS^sî^^.eâsds,,'xlel'®cblte, à une petite arcadeJOsaeuse
qui va^e.fpej'dte sur les cr^ète^ sodredières ,Maqui laiséé'un^ou ou
q-ÿhne vÿrte de p,etitefcav4nhie^u-d^sfeldê’L’0rbite. I^e,frontal antérieur
s'avance,en^üife.eii unjox.etioit,1 avant Tm^Mtêtemioyeùne et deux
petites latérales. L’ethmoMé s’ârtictlJe-presque à angle droitsojqs,cet
Os\ é^vi'ènt^re^eV@^^‘ans’^n'éOTrocM^é‘ïés’îbrancne's aè l’xhter-
maxillaire.©è'chaquVcWé de l’ethlnoïd&'pq tîfd ’abord les os du nez;
en demit^qrnets, et
formant ainsi unè/SOTwd'etgoutüçrë'', qûTsereèntmué avec celle’des
• .frontaux. Les^^Sâprijitâipês sont' de-même pliés-en gouttière, de
4tgSQfte_ que «tous1 les Aosfdeféè'tte partie^de la facS » onr^l’apparence
( avtuietNe de plusieurs de nos'suenr s J'1« ai tièi e et au-des^ùs des
frontaux "sont deui^tres-petits 'pariétaâx, dè»nt la, ligne moyenné est
releSVé èn une'petïtejcrelè qui v^^ ' cpnfxri^&i^Wd^ÿ grande crête
* impaire de l’interpariétal, dè'cha que’cote dé laquel'le'On voit's’élever
les peiiiés^t^esjmasiOVdijènnek,q.uj.portent' \erjSf'les hases‘ ëxternes
de'Tâ régifm'Oempîtâle.Xè" troü màsroedieii latéral' est. tjès-grand,
V ti'ian^û'laire’ e ï^ ^ qW e r r par pn" surtempdral oblong^quf’ést pra-
portionnellement le" <raus‘grand délldhtesjes èSpèoès'.d'e mormyres.
Je troûye, i e i d e u x !iou>>’déà^Mupitauxjlaté|:aiîx de nos autres
'' L'sp'èbèwriN’b.us n’avôns'plus'qué quaràhie-deux'^erlèbresi dont onze
spnt abdominales. '
a i^ ë lle .e s t la;deRct’ip,tion détaillée dtifçprmyre Bané, faite
sur un individu long, de neuf pouaes'^qui à egalement servi
au'travail d;OTAT.-©et)ffr ëy. Il sest trompéyquand il a cru qitè
p f pouVaitf être le 'mormyrus 'cÿfirinaides tde Linné;; car
l’auteur du Sfstema naturcè’ co’m|ite^tda^ddTS'arë‘ vingt-six
raÿdoe|et à l’anale quarante et un; nompée||que nous avdns
retrouyés .dans. pnPdpsÿsRèc^ nr/cé’déntescNoüà ; devons
regr(etter;,aussi que Mvpplfel;!"ai't adopté!|iqns yérification
pr,éa.lable, la détermiriatjop^qe M. GeoiÈrky. %