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,,.s?>la ligne médiane. e teon bord sp< prolonge même un-peu vers la
droitey de sorte qiïè le lobe droit-! du.foie est court et p e tit, La vé-
sicule-idu fiel est'assez grande et ronde ; le tube digestif* sàieom-
pose.d’un.large.oesophage et dun>estomac arrondi'recourbé, sans
cul-de-sac; la branche montante n’est pas trèsrl-angueinelle sê-rétrécit
très ■ ^promptement, ce qui rend l’ouverture dui^pylfice fort
étroit. On compte une trentaine d’appendices coecaux aut-out^de la
naissanoe de-l’intestid^ qui fait une simple .ondulation plutôt qu’un
véritable-nepli avant de? sè^ rendre .à l’anus» :Les. parois intestinales
-sont minees set la veloutée, fait au. dedans de fines :et nombreuses
réticulations, dont lès lames sont un cpeu élesées*, mais sans former
de .véritables valvules : la vessie aériennedél Érythrins. est est-rème-
ment curieusetqsjtdirait que jla nature a> empruritç -cet;-'oeg^ne
rà un Cyprin, et quelle a commencé à.lui donner l'oiganisation de
-/celui des Amies.
' Cette ressemblance a veori^; Cyprin^ se. montre même fdans/les
attachés des ligaments antérieurs de la vessie avec lès apophyses* des
premières v ertèbfts 1 en effet, laTessiè ëstffouhlê/l’ant|rieu:ré*,%®'brte
et à peu près globuleuse,'Communique en arrière par un canal
étroit aivèc làVèsSie pôstèriéhrte; Celle-ci 111 longue' et^eôniquéY
< pointue; elle dohrféHe’'sa'^pS'rtie ah%êrifeUFé'r'ét inférieure un-èânal
dè lcûthrnunÎGation' qui va Couvrir dans le haüt de^’éèsoiphàgè'Ct
dans uü’é large papiilè';t lès’ pëfdi^dëjjeèSi'vès'sies^soht -doubles :
l’extérieure e&'fi|reuse/arg«jitée ; là seconde-fesèmince et membraneuse
à d’intérieur elle est simple“ san^'aüctme/éellule; sans aüèun
g -corps glanduleux; la secondé’a toute la moitié antérieure de sa
paroi divisée èn nemdirê&sèV-petites ’cellules,quÿ se montrent à
Intérieur,' comme autant de ^petits points demi-tranSparentsi On
apef^oit dans le milieu une sbrte de bride longitudinale t ënÿdf?
plagabt un ’peu la vessie .on iètroùve l’impression' de1 cette bride
sur la face dorsale, et celledtWe'autre bride semblable «Je’chaque
côté : emouvrant la ’vessie - on voit ces -'.quatre brides saillantes dans
Fintéideur appartênant'aù tissuJ fibreux -et aègeftté de la vessie,;
d’aütrêS 'hrides ,t¥àuSvèrsàlès , parallèles entre èllés g moins1 ‘grosses
qüë les briêeS fcttgitudinâles, et dont j e etrtn pte|>luS-d’;une ti]en-
Cil AP. XI. ÉRYTHRINS, 555
taine, vont d’une arête à; l’autre^,,et icelles-ei sont toutes retenues
Par d’autres petites lamelles longitudinales, qui font la première
trame entre-laquelle on observe- les très-petites et .nombreuses
, ©4Wès vessie ; .jouteda portion conique postérieure est lisse*
et-sans, .cellules-: ilufaut remarquer que les deux grandes brides-supérieure
;eti antériepre .seprolongent jusqu’au sommet du cône,
tandis* que les deux latérales ne. dépassent, pas les cloisons u;ans-
verses. Cette isingulière organisation de :1a*vessie avait échappé à M.
Çuv?er^jqui a. cependant. parié de la s-planchnologie de l’Ërythrin
en examinant: l’espèce- que nous décrivons. Je suis entré dans ces
détails sur horganisation der-lià vessie pour faire, voir que la cellu-
,lôsité de .cet organe est indiquée d’une manière trop vague par
l expression! de msica aerm celhdosay'qm pourrait,faire croire qu’il
y ; a de là ressemblance entré la vessie des Érythrins et celle des
Amies. La différence est a® contraire plus grande entre.ces poissons
qü entre: la vessie de: l’Amie et celle de quelques espèces d’Hémi-
rampl^e#f!iî
■ / Nous«venons detvsoir que la nature a fait dans les fÉrytkrins une
espèce de vessie fort semblable à celle,desCyprins ; on peut le dire
avem.dautant plus: de raison que la ."vessie aérienne, des espèces
dont M. Muller a formé» le.'genre-Macrôdon est tout à fait celle
êiyae Carpe. La -nature a donné aux phksonS-dont nous traitons
ici’une organisation.semblable à celle des Saumons;- en.ee qui,eon-
cerne lés-organes génitaux, - nous les voyons en effet constitués
par deux rubans portant dans les femelles les oeufs sur des replis
transverses ; eés,’ oeufs tombent dans l’abdomen pour s’échapper
par deux .tr tasi.percés-;de chaque cèSé de Ihnus.
Lets®raaa»e des. Érythrins-mérite use MteUti©n|;partiçuliërè; là
voûte est -foj'mée par «fe;;-très*-grandsfrontaux principaux, qui re-
esmyçent en adantsseïien arrière îles deux autres,des deux démembrements
du frontal, c;estdt-direi, le frontal antérieur et le frontal
postérieur, en avant: du frontal et-entre-lui et les intermaxillaires
* sont, les deux os,dumez, assezgrandselans ces poissons et.concourant.
à* l’ossature de l’extréthité du mil seau. Entre eux et entre les
lUtàèmaxïUakes etdfefiéux frUhfcÉhxHdU îvoit, une petite .plaque