un petit groupe distinct, que l’on prendrait, à^n,se^(Je la 'min'-,
ceur et de l’é l a s t i c i t l a branche palatin©,, pourrun.psparticu-
lieiv, surtout quand on i^^nowt\ dégagé les os-, de,, l|.,muqurase
épaisse de -la bjmche»Tout »Jfc.re?»te de 1-os e’^l ensuite couyerl de
dentSj-telïls^’quet nous le lp von s "décrites. Les ptéiÿgoidiens sont
oblongs j leur bord libre ou interne' esflè^èremént tiss'Eonné,
'cis ne portent aucunes dènts: Lé'vqm|rtl% s|ihJenoide-'e^^,bàâlàire
diffèrenti|Ss-peu deféêvmde^Êrythrins. A la région ôccipitale^rious
voyons", conâïne1‘dans Ifc^^^thriüs^Ldfe^iîès-petits pariétaux», un
interpariétah à'-peine plus. déÿ^Lpppé-^de grands ipq^s.iÿAstpidiens,
et entre «èux -làv ïgsÿrous,rf|o,rm^s‘ pa|p%s\d erniers, os^p)jnJain,te-
ment',tavec les pariétaux ;et d’in^ypjriéta.lA €elj.e^^qsêa^e Loccipital
me paraît seulement un pèuplus Jgrgq et^qn peu plus.oblique que
dans l’Érythrin. Je voistausSilâ m èmefs trûc tuée.aUx^jiâtr«' pre-
mièresvlrtèhres-: amsi,1apremière a î i e S - e l r ô i t ;J.i>se,condè
a spn apophyse transversé dmgéf en avaiîïj’ la troiyt-nfe eût,quatrième^
supportent tout 1 appireir'dés dssehts-aVc’essoires de AVcht
ber. Ceux-ci cdnsisten|r,<eoinme dans-les ÉryjhrinA, en, deux<petits
osselets .ar'ticulés.^o.usÂûcQrps de la uertfehre^gt .forment par Jeur
réunion un premier §mneau-, donnant énsuite.unevBfàîàehe' courte,
dirig^fe^n avant. Dans rindiviai^pte j’ai];^ ^ les yeqx.^les .branches
antérieures sonjt plus courtes que dans^Krythrin, et me paraissent
plus intimement'soudées ayècle corps cle^la yfutehie. J éprouve ensuite,
sur les côtés? le meme petit fdssele.t'W&uflleron, allant dl
l’apophyse transyèrse' de -da^seetridé vertébré*“ à l’extrémité' de- la
branche de l’os en anneau : cet osv,-èxte'rfe et aplati ^(Jbpq^-d^^on
bord interne une petite apophyse, quuyaî^miculer sur,une'des)
facettes latérales de>la tr oisiè.me A?jr|ebrj1, et rie cpUCMpituldUoi], je
vois aussi marcher !pjqng de la.yçrtèbre un-stylet osseux-, qui vient
rejoindre l’éxtrémité antérieure 3e ce. petit- os de.-W©bh^r ^dnmme
dans les Érythrins auqun-de pW oiselets,. rne vient varliculei ou
toucher le moins du monde au" crâné, et pari -ppnséquçnt, n’a
aucune connexion avec l’oreille interne. Les branches çonstituant
l’anneau sous-vertéBral, sont creuses et fournissent des attaches au
ligament de la vessie natatoire. JèJ-compte trente-deux vertèbres à Ja
suite des quatre premières, et vingt-quatre paires de côtes.
“ Oufi^rexemplaire Idp; Bahia que wpus venons de disséquer,
riôüsfèu!Î#voùs reçi^d’atitfes du 'Bj’ëê^par MM. Quoy
e t Gainianl’,’ w^ljGasfMiiaii ‘i?f f laussea. M. Auguste’ Saint-
té” plusit‘im. exc;mplair|^ du Bio-San-
Frmeisço,. et M. de Montrai ell a rétro®ffiaans l’Amazone.
.M. Leprieur ,a4ain|i ; que^MMJ^Æese^ Doumérç)
l’ont -'rapp^rLy-,d^sâeaJJx doucesgdeiG^^nne^.^tùeniin, M.
,Pll|pa sui\j^’es^eéénj usque-zdauPla lagune de Marsjcaîbo.
laVQns ^tiss^ de la <§qte* ferme par* '^.f Beauper-
*"P& Tare ir;i'al*é t é? par tôt te^nent del|®|%" Marcgrave. Je
l^i t i o d a n s ’j|e'J ƒ eMuil hîcs-pein l ures du prince Mau-
r i s p u s le ^mmi^ërTareirg,^ dbt Rio^hxx il
est dit f l j il çg|,|ënible à^un brochet.' Gné peinturé du
liyj|é| des^lj&i^el .nous^montre ^ m r r TàreJ|r|C, ;qui me
paraît.appartenir!à lanterne espece, quoiqueLe^tte figure
M t moins^*ëile^éf^âqferls’e'] . C’est en employant fort mal
ice^;;matér i q u e •Blofcha'“ e1iH;i<Tée*de fairttson Synodus
f«rfzrlh~Mais^ fait indéchiffrable >en
renyoyantïa cè(J.é hgùrb "de la gVand^ichtlïÿôlogieque
l’examen de l’original pourra s e ul efpiquehf Si le, trait en
.efe|i|éjXaçt % il ^ès^ti^idemt qu’elle représente une* espèce
toute par ticuliàrSd u genre, . T elle qu’elle test,
surtout avecile vague.ipuvsdntlaisséesdé.S:difféteptes parjties
caraèteristiques llela )rèjt’è,^’aurais-pu aussi la classer* parmi
les' figûfés de:-'BllMh, impoêsibj^s ^reconnaître.
Nous'arnvo® maintenant à ‘ parléff** suivaût l’ordre chronologique,
des publierions de M. ÂgasàiM^Cet habile ich-
thyologiste ne me paraît*^oir eu^ôus les "yeux qu’un
exemplaire de squÆrÿthrinus macrodon, conservé dans
l’esprit de vin^,çt qu’unexempl^re dess échu de son Erythr.