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supérieure estfaussi plus petite? le vlents, sontàrès-fmes, le dessous
de. Ja-gôçge e s t f ie ^ q u p plus reiîtfé que dansxf espèce précédente.
le fipn.fa la lon-
;S gue,ur. totale. La pectorale, est allqn]|p! et proportionnellement
,1®- De„u p la q u e celle de notre H. lo ngîrostrh', car elle mesure
-le’tiers de la.longueui jlu,ii(}nc*Lcs \entralevont petites^ la dorsale
et l’anale' sont Hautes et lon’gues, la caudal*’e^tfourph^éi'
* A. 22, etc.
Çe ppiss^û paraît av|^ëu||es' mêmes cpü|urs ^Uede précédent,
le. bec étant 'un peu plus ,noir '
' Sa \essie aérienne est sirnRlt) et sans aucunes cellulés internes.
' ne c ô ^ r é f ù ni q ^ é ^ a s l e tubjejdiges ti£ t Vf
»> Celle curicu§ç/spècc a ct^rapportée par M. Wèâpitaine
Salïs|t4pmmandanfi^|eole, trois-mâts de,Bordeaux, qui
sâ lrô#|^t âlftrs par ] f | |p e longitude'lst de P a r isV t'^ d e
latitudefâu^trâre^à u^gournée^lu groupe des .îles Peyster
dansde, gr-and Océcl|
L ’individù est long\’ïd'|^;quatWp'^ pcmops-Veï’ demi.
.Z/HÉMIfilAjlPHE A. AiqimjLON.
(Hemimmphus cuspïBatül, nob:) ’ y
HgggH veuonVde vôi||îdans lelgdeüx .iÉpfè|s;précedentes,
que la nature allô n g||l|s \p e;ctorales^çîe^manière à nous
montrer quelle wnPus'corid'uîretàHla, forme remarquable
des'nageoires des Exocpts: En même temps quelle développait
âiiaîsi ceSforganes, le b^c devenait excessivement long.
:%us-avons nîMpt’ènant Vf|&rler d’un autre Hémiramphe
qui a les nageoires peitbfajes autant prolongées que celles
dé certains Exocets, m p dont la mâchoire inferieure est
tellement réduite, -quevée demi-bec ne.paraît plus, à cause
de sa ténuité, que"comme un simple aiguillon.
S