T ête
da
squelette.
'LiTE
d'Audicrne.
0 a/ '
Hauteur de l'occipital depuis le bord inférieur du basilaire jusqu’au
1 ,67
; 4 fio
2,8o
i ,63
4,«9 . 2,39
Longueur de la mâchoire inférieure en ligne dro ite.. . . . . . . . . . . . .
Distance entre les bords externes des condyles articulairès................ .. >,69
1,67
o,58
Largeur de la mâchoire à l’endroit où commence la symphyse* 0,36 q,3o
a°. D u reste du squelette.
Dans le squelette du cachalot, l'atlas, pi. X X IV , fig. i 3, est Seul
distinct; les six autres vertèbres, fig. 12, sont soudées en une seule
niasse par les corps et les apophyses épineuses, mais oh en juge le
nombre par les côtés où des lames très-minces s’interposent entre'
les trous par où passent les nerfs.
Il y a quatorze paires de côtes et quatorze vertèbres dorsales
( peut-être même y en a-t-il une quinzième) , et trente-neuf autres
vertèbres (ou trente-huit s’il y a quinze dorsales), ce qui fait
soixante en tout.
Les dorsales (fig. i 5.1a deuxième, et fig. 16 la neuvième) ont des
apophyses transverses courtes ; leurs articulaires antérieures sont
tournées en dedans, et embrassent les postérieures qui regardent en-
dehors. Les épineuses sont peu élevées et larges d’avant en arrière.
Les deux dernières ne portent les côtes que par l’extrémité dè leurs
apophyses transversés, et non sur une facette de leur corps..........
Sur les vertèbres suivantes (fig. 17 la troisième lombaire) les apophyses
épineuses s’élèvent, deviennent obliques et pluà larges à leur'
sommet qu’à leur basé. Lés articulaires montent graduellement à leur
bord anterieur comme dans les dauphins; les apophyses épineuses sé
raccourcissant par degrés-, -les-articulaires ârriveùt à leur sommet sur
la queue (comme en fig. 18) et enfin disparoissent. Les épineuses
disparoissent aussi sur les dernières caudales.
Les apophyses transverses sont d’abord de simples tubercules dés
apophyses articulaires; elles ne prennent la forme d apophyses distinctes
qu’aux trois dernières dorsales, et s.e continuent ensuite sut
les lombes et la queue , mais en demeurant partout de longueui
médiocre et ne se dilatant point à leur extrémité.
Le dessous du corps des vertèbres, à compter de la quatrième
lombaire, est fortement caréné. Les os en V (a, fig. 18), dont je n ai
point la totalité, n’ont dû commencer (à en juger par les facettes
qui les portoient) qu’à la vingt-unième après lés dorsales.
Us sont d ’abord assez longs et plus que les apophyses épineuses
auxquelles ils correspondent; ensuite ils se raccourcissent beaucoup.
Les vertèbres qui les portent ont leur carène inférieure divisée en
deux arêtes tronquées, chacune à ses deux .extrémités, pour donner
des facettes aux os en V, lesquels s articulent toujours entre deux
vertèbres. Les vertèbres caudales restent encore fort grosses jus- •
qu’aux six ou sept.dernières, qui diminuent rapidement en perdant
leurs diverses éminences; ainsi la plus grande partie de l’épine est à
peu près d’une venue.
L ’omoplate (fig- t i ) est concave a lexterieur, convexe, du cote
des côtes, et plus étroite qu’aux autres cétacés; son bord spinal ne
fait pas les deux tiers de sa hauteur.
Son bord aiuérieurdevient double.au-dessous du milieude sa hauteur,
et donné, de son arête externe, un grand acromion plus saillant
en ayant que l’omoplate n’est large en cet endroit, et élargi à son extrémité.
L ’interne donne, tout près de la tête articulaire, une apophyse
coracoïde moins saillante quel acromion et-termineeen pointe.
L ’humérus (a , fig. 4 ) , très-court et très-gros, a à son bord
antérieur une crête terminée vers le bas par. un cr.Ocb.et, et-qui représente
la crète.deltoïdale.
Le cubitus (h , il),} se soude de bonne heure à l’humérus, avant
même que l’épiphyse de celui-ci soit reunie. Lapophyse olécranienne
est très-saillante et se recourbe vers le poignet.
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