ration brunâtre pins l'oncée. Le manleau n’olTre pîu.s
aussi des appendices latéraux aussi développés.
Dimensions de la coquille :
m illim c ti es.
Longueur totale........................................ 18
Largeur...................................................................... 11
Hauteur...................................................................... S
Cette espèce est une des plus communes ; nous
l’avons trouvée dans toutes les mers.
La Cléodore pyramidale (Cleodora pyramidata) de
Péron et Lesueur, que nous avons figurée sur la
même planche (fig. 2 3 , 24), nous semble n’être,
d’après l’examen que nous avons pu faire d’un grand
nombre d’individus, que le jeune âge de l’espèce que
nous venons de décrire.
CLÉODORE PLATE.
Cleodora compressa, nobis.
P lanche 6, F igures 26-32.
Testa longé triangularis , valdè depressa, pellucida , anticè rotundatim
truncata, posticè elongata et cuspidata, infrà et superne
plana et levigata; apertura transversali, angustissimâ ; lahris
oequalibus et acutis.
Cette espèce est remarquable par sa forme très-déprimée
et tout à fait plate en dessus comme en dessous
; elle a , dans son ensemble , l’aspect d’un triangle
isocèle très-allongé, dont la base, légèrement
arrondie, serait tournée en avant. On ne remarque,
sur ses faces supérieure et inférieure, que des stries
d’accroissement à peine marquées ; sur les côté s, elle
présente un bord aplati qui se prolonge, en se rétrécissant,
jusqu’à son extrémité postérieure. L’ouverture
est transversale et très-étroite ; les deux lèvres
qui la circonscrivent sont égales et terminées par des
bords tranchants. l.a pointe postérieure présente à
son sommet un petit renflement ovoïde comme dans
les espèces qui précèdent.
Cette coquille est parfaitement transparente.
L’animal est semblable à celui des Cléodores précédemment
décrites ; il est Iranspai ent dans toutes ses