destiné à'saler les harengs blancs, en la trâfispoitafiLsur
les harefigs salés^LFii autre bill cônfirm^Ÿôh¥ë's fesf l6is¥è-
lativei^à là pêche , et’régla0 la pefffeption d é ta x e s à élever
sür.le s’ëlrŸÆ
I Au nombre’ des^êhcoura’gements particuliers^que reçut
rÈtosse^" Ande'rsonI daWsês* ouvrages sur le' éômmerce,
citéquedësbiehs'Confisquéssur les rehelleseni f i 5y füreht
mis**à*daA disposition de^Cemmilsairélfmommës pour amélioré^
oes^différeiïtês branches d’utilité généfkll^üe ^rarid
moüvCrilënt que ltSttfondS publics Réfutent, biï l'7#b, d'es
Uctrons de la^mpagnie dula mer*du!Sud, rë'àgtt^sùif!'celle
*dè la pèche ■ britannique du haredg.* Lesvfonds qu’on
destina' àdexétEulion de^ cé^vàstes'^ës^ëiriîlf la ?qualirë'Sës
actionnaires qui s’y %figa^èrent par leurs ^userip#oh|^ët
da^grandeür"de projets qui nrallair pâs^à moins que ruiiffer
lé^Ôommercë de toutes .-lès autre^Mtron^, fîteriï&OfoYrë’
quelle s ’établissait sur" des^fôrfdements plusrSfoMbVl|ue
tant d’autrés qui pfarais's'aiènt's’ëlévér en’îhêmè' lérrïps ; mais
il ne faut vôir dansth iif^ïa' què lè¥ësultài d urfé jsflbMe
ôbntredà 'ctîmpa'giîie de la pêche"'frança-isé des Indues,' ddn.t
• le ^crédit devenait très-flolrissant. Les’fonds de? la WmvêMe
•ooîhpagnfe^: fixés % ’Ôao^odb livres sterling /-eurent’* p"oU r
premiers souscripteurs Cent cinquante meitfbfes ^ ^ l a
chambre dès^OmmUnél!; On ^adressa au Roi pour obtenir
dësd e ttr esr-p atefit^fe# eu^reCevbir !unef chârté^dêtaMfêsë-
ment , d o n tl’eXp édition parut d’autahh plus facile^-que
rèntrepriàë^àvâit été^àgfëfi'C par les Communes- assemblées
eh côïhité. La' requëtèlfut rédigée' en treize articles tres-
détaillëè'9 la^Cômpagnimse proposait aussi de faireda pèche
• de la baleineau Groenland, et d’épargner1 par là plus de
deuCvdëft an aux
Hollandais pour l’huile^tidés fanons ce£ cétacés. Les
Angtâis? acquirent dé Hambourg le droit d’y vendre aux
mêmes^èdnditions’ que les*Hollandaisff|le hareng et toute
àoïtehle poi^aëri’snS’éCsq'ët^l^. Cett^fcôïnpaguje,, cependant
,4tbm^ad©ommetant d’autr.es kÿfqiiid’ariné'es aprè^son
établissement. Cependant,'Slns^ÿrlèL^l^iifé^ipar l’exempie
ldé^4cjbmp agnies-. prëèédèntej^c une au tre-.^çjainjïa^nie se
forma, „en--vjr4tftr sc^is-kl^rs^Kom..
Britishk F ishery. Les dix-se^t^a^d^^^^s^îC^nstitution
parurent* devoir parer aux inçonvénients;; qui ;a^^ient fàif|
’échouer le^cfimpagnies^pféeéjdep^esh. yprégla^urtout
la quanti t<^rd»|||sel que ►devait avoir*à ,bord*les bâtiments
de-pêché^'fell# futéfixee' à^douzë sb^isleaux-pbuçïiehggue
leth de poisson que pourraif^contenir^Léjibâtiment..Il devait.
y^a^oir une»certaine quantitéxle filets ,ÿeent.pièces,au
moins, propres à* la péchai du harengs pbur.-un*bfâtiment
au-dfessus dù port desoixante-dix* t o n n e a u xAu s s i t ô t
qliteries Hollandais .eurent connaissante de la’g/dëiéfcé dé’
pêché anglaise-, ilsvdéfendirent à -tout matelot-pêcheur de
prendre < duserviee en Angleterre. Ils essayèrent d’étendre
ces ^»défenses aux matelots danois :de/;nàissànce ^employés
cchez eux depuis longtemps dans les spêches j|et ;possédant
l’art d’apprêter, de salen-omd&paquer le,ha,reng. Les flibots
de la. compagnie de . Londres, firent leur eS§ai| aux îles
Shetland. Les. succès de , la. pêche surpayèrent »l’attenté
quon èn avait conçuê. Le, prince de 'Gâll'cs^aeçepta, en
hj&D, le titrede chef^de la -compagnie: des^pêcheurs. Hans
unë- assemblée-tenuede ^8 novembre de*.cette année-, dl
fut résolu que les capitaux.- seraient portas ,à cinq cent
milles livres sterling. La pêchelfaite sur jS|p| côtes d’Argyll
encouragea- tellement la compagnie, que plus de 5oo