SUPPLÉMENT
au chapitre VI du livre XX, tome X IX, page 316.
Du genre DDSSUMIÉRIE, et en particulier'‘de la Dcssumiérie ’
a Mu^EXtr ‘ aïGu, ( Dussumîerîa acuta )•„ ,*
Lorsque j’ai faitâ’nn dernier le tTava|['|jtpéparatoire qui
m’a conduit à la cîassifipatS’Qii des Glupees <juC pji pré-^
serine «lans- ce volnmë^èt^a séparer ?de la famille des;
^Glupéôïdes de Çuvièr les divevs/genfés dont il a 4éçé stüc-
cëssivemerit question dans; la#pescription des familles
précédentes,'je navais pas‘examiné le poisson q u itta
fairè le sujet de ce suppléaient, parce qu’il sè trouvait
confondu -avec nos Sardines sous^la dénomination dë|;
Sardiéè a pointue de lexeme malabare. On lui
donne en effet à Bombay le nem de Sardine. La ressemblance
extérieure que ce-poisson5 u?a\ec Tes espèdesj de'ce'
genre semble justifier-cette dénomination. J’avoué que j’ai
été pendant quelque temps assëz^èmbarras&é, parce que
je croyais que 'cette e s v e n a i t faire une fâcheuse exception,
à cause de son ventre lisse et sans dentelures^ à
notre Série des Glupées à ventre dentelé. Mais en fëxahii-
nant avec attention j pe- n’ai pas tarde à^reconnaître que. ses
caractères zoologiques sont très-différents de ceux de nos
Sardines et quelle a etepcofifondue Ires- improprement
avec les espèce,s de ce .genre sous^cette dénomination vulgaire.
Ge poisson a en effet des denis aux mâchoires, aux