et -te vomer^je<jei?Qis !devoir ■ pkteet < à da suite- de t nos ha-,
rengs SQr^ Cjlupè'a virèscéris, puisque c^tf auteur l’a range
avec les^uifantela8k'nâ son genre ‘Cliipha: 1
Cet hareng est un "boisson à-ygprps 'trèsrcomprimé.aj abdomen
t rançhant efc très-fortement dentelé. M. Dekay lui cojpapte dix-neuf
épines1 avant les^entrales, et douze.au delà. La dorsale est qjradran-
gula,ire, élevée èn avant; .l’anale longue et basse; cependant les
premiers ràyôns.spnt un peu allongés, La caudale est profondément
fourchue et ses" lôhes très-pointus. Xes nombres^ sont ainsi naté§
par'M. Dekay:
\,B."VD. 16;% lV; C. Mf*; P. 16; V. 9. '
La cotJeur e.st W$e sur JjfMdos, argentée sur les eq|fs. Le sommet
du musfeau estj brun fonde: Une taché verticale noire se montre-
derrière-.l’ouverture de la branchie La dorsale et la caudale sont
bordées de brun; l’anale est pointillée dé hoir; les àtrtrés‘nàgëoires
! J sont blanches1} laVéés de jaunesffi
M—Dekay a vup ren d récë poisson en octobre aYêe la
seine dans’la bâre de NeW-York. On l’y appelle Green-
back ' bu Fàll - lie r ring. Jlnutëùr pënse- qu’on' doit ’''retrouver’
dànè* cétt'e' éspéëb fle Clüpea halec' de Mitchill.'
M; Storer’ a admis" cette espèce dans' 'son Sÿftfipsis' dés-
poissôris du nord de l’Amérique. Il croit, d’après M. Pnns-
ley, qu’on la retrouve^ùssi Sur les côtes du Connecticut.
Le Hareng, nain.
(jÇlupeà parvula, Mitëhill'Jr :
M; Dekay,1 et M. Storer2 3 ont admis, tçus-les, deux, le
Clÿpea .pQWula rMitchill. v
1. Dekay, New-York Faun., g. 253.
2. Storer, SynopsTôfiEêjîsh.^ North-America, p. 205,n.°'4.
3. Mitch., Fish: of New-York, p.r452.
■ U’est iun petit poisson; presque demiuransparenfeîi) quitté -fçiîrr
W chye.! h- ventre dentelé,, dçpt la çquleçu; ^feri^tre- sur la tête et
sur l^s ^percul'èS.,glacée de yert py, de. bleu sur le dos et suc les
. i gotés^Le ^fon'd i ^ la eoujeur.du tronc esLun brun foncé dessus,-,
passant par une gradàt’ion- réfgU'liere au' blanc argenté des.cotés et
du ventre*
14’
• Cettb ëôuttë dé^cri^tÿoh' ^èst 'copiëe^dè Mitchill. M. Dekay
ajoute que le poisson ëst 'sans batide^-ôu sans;tacheSl
Il lui paraît trèswoisi-n de celui dont M. Storer a parlé
sous le nom de Jirit.
Le Harën^^^ygmée.
(Ctupea minima , Peck. 'JW
C’est le nom .spécifique que M. Peck, dans .son Histoire
du New-Hampshire, a donné Ivau poisson que M. Storer1
appelle The B rit. ~
r Ce.poisson, noir sur le dos, d’un vert foncé sur la partie supérieure
des flancs, a le ventre argenté, avec des reflets ,rosés et dorés.-
hes jeunes~osnt la dorsale bordée d’un fin liseré noÿr„ et au-dessus
*§e *a ^§ne btérale des points foncés, ^ettc ligne naît de la partie
supérieure de l’aügle de l’operbulè. Le diamètre de l’oeil égale le
sixième délia longueur de la tête. Celle-ci est le quart de belle du
corps. Les opercules sont grands, argentés. La mâchoire inférieure '
dépasse la supérieure. .
D. 10; yk. 1-2; €.18; P. 15; y. 5. '
Je ne crois pas que ces nombres aien^été comptés avec
exactitude.
C’est une espèce qui se montre sur les côtes du Massa-
'1 . Storer, Fish. o/Mass., p. 113. — Synopsis of the fishes of North-America,
p. 205, n.° 7.