•indigène de petits. harengs, connué-en Hollande sous le
nom de pan-hàring ou hareng chaudronÿ^aipsi nommé,
par qe^ qu’il doit être mangé drais tet ne sauraîfc'i'être -salé.
Cependant en comparant'Mes notes t*à*celle$.de 'Noël; de
la Marinière ,~j’aklieu de sôupèolndèk'f Comme lui, qu’il s’av
git'iç-hdu Pilchai^éou* deàîàvgfandé^S’atdine. Mais dans le
nord etj§dàii&> l’ouest dèÆÉeosséV^Anderg'on. a'^e'C'U'eilli
et rapproché un grand nombre'de p re f^ s. pour rétablir
la distinctiorfei®ê| deux esjH§ëé& ou selon moi de'deux races,
et que l’u n ^ à ^ i ^ fréquente* {tendant%oùtëi4’anhéaSet
dans toutesdes^àtsonS' les* fonds desrHébridesv On peut'
l’y p êchei; - en itout tempfe:, pourvu que l’o mfâss etdës e en-
dreÉgk filets à ùnps-profondeur convenable. Ils-établissen t
toisES-. aussi1 que- les.»’harengs du -feétedfrëéiru SOntVpiîéfé^
râbles en géhefll - à^tou’s ceux des èLochs situés plus au
SuÆH!£4ël ide^lâJ Moriniëïê regarde aussi; comme harên'gs-
stationnaire^ou fonciers, ceux que-l’on prend au nord
d’Invçtpfeis, ceux de l’embauchure Alu Forth,^eux de
Carlisle jl qui soutien«gêfréràl fort inférieurs SîrP^léu'X' dès?
Hébrides''et de l’ilé du Man. d ’est probtfblemenlfd’espèéi?
dont paÉle ^ Pennant, dans son Voÿage-en- Écosse. Rnox
obseïvUÿdonc-n?vec*Mraisom-quilme voyait pas Atrop* poUr-
quoid a-pêche me , commençai# to usles ans; -'a-ux aMs; de
Shetlandf qu’au solstice- d’été, puisque lesi^eèheurk hol-
landais^ou belges s’yf rendent longtemps auparavant pour
prendre tcetteh clupee;^qui leur sert d’amorce pour la
pêehe-^de la,qnpruek L’Irlande a aussi, de même vque
l’ÉGO^se,HS^^harengS stationnaires ff il est s%_cile~ d’en ré--,
cueillie un nombre:deépreuves considérables. On les- dis«
tingüfe des autres par leur-taille et par une sorte de
physionomie particulière.,' e^il paraîtrait même que -.ton
CHAP. I. HARENGS. 81
pourrait, dans les différentes baies du nord de cette île,
distinguer plusieurs races particulières : ainsi, à Doni’a-
naghie, au fond de Sheephaven, iLyla une pêche d’été
qiîi produit des harengs de très-bonne quali té. et si gros,
qu’il n’en la ut guère que quatre ^,-eents pour remplir un
baril. Dans la baie de Dongal, au nord-ouest, sur les
bancs où se trouvent de nombreuses espèces de gades, on
voit pendant toute Vannée une grande abondance de harengs.
En général, lés/ pécheurs sont assurés, de trouver
sur toutes les côtes une quantité suffisante de harengs
qu’ils emploient pendant toute l’année pour amorcer leurs
lignes. Si l’on ne s’occupe pas duu faire une pêche régulière
, c’est qu’il y en a d’autres-plus prod actives : eesi
que le hareng donnerait alors des bénéfices très-minimes,
parce que sa chair n’est pas alors d’aussi bonne; qualité. Ou
est si persuadé en Irlande que le hareng habite pendant
toute l’armée la mer qui entoure l’île, qu’on a publié comme
une mesure utile à la prospérité des pêches %.celle de là
permettre et de la laisser libre sans ' restriction, on i.x
distinguant a r quatre dénominations empruntées*de la
succession des saisons. Une pareille mesure destructive de
tout système politique de pêche bien conçu n’en avau
pas moins été adoptée par le parlemgntdd’Irlande en 17^0.
.On trouve aussi dans Pennant ou dans Anderson, des
pr -uves que des radeaux de harengs vivent sans interruption
e\ pendant toute l’année sut les côtes d’Écosse ou
d-’Aiigi eterre. Les pêcheurs de Scarborough trouvent toujours
des harengs dans leurs filets, et quand on visite
Londres dans les premiers jours du printemps, on est à
portée de voir que les marchés de cette ville sont abondamment
pourvus de ce poisson mais il y est souvent
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