la pêche; est mauvaise sur la-cqtfôd^Petiedle, elle est bonne
sur celle d’-Écbsse et alternativement. On :crpitaussi, ^v^jr
observé dans le eomtétde Mago, dans llouest de4 Irlande,
qu’on péchait plus de harj^s&prè§>de,Ri;lleris, .quand la
péchëëhst mauvaise- dans le nord-ouest...
Les -ëèoriomistesâ alleman ds ^out^|ait'ïs les meixiesà.^r
marques sur les h a re p g ^ d ^ ia jB a lt iq u e iO m su r^ ^ e la
mer du Nord. On4es a vus abandotiner pendara^plusieurs
néeid’ëmbouchure du Texel: Le petit hareng d ^ a . Bal-
tiqüë a1 d é sad ap tation de Rellouen Q&trogotjaie^n 6des
faits les plus remarquables de l’histoire du Hareng., ^tr que
l’on trouve controversé entre beaucoupd^crivainsj^cotte
épbqüe,^st la disparition’subite des har^ngs-quiabandon-
Oèrént, dit-on,et tout d’un coup, en i3i3, les rivagesi^e
da-Pruss& I L est probable cependant qu’il y, a exagération
dans%îêtte«assêrtiomdjock1 prétend quil faut entendre,
par les expressions des historiens de i^ie^ép^qhe, que
l’importation en Prusse deS-harengs pêchés*dansla Baltique
ou dans la mer_du Nord, eut une interruptiommbmen-
danéé^à eâuse dés.guerres maritimes^de^Ganu^iBO^pp
Danemarck, et du brigandage des pirates qui en, fut la
| conséquencé^T ou te fois il ne se re fuseras,à^cr^^queiles
harengs désertèrent- en^partie à cette époque des parages
d€*fâ 'Bàlu|ue. -* -xz
Ybici ce qu’il dit à^cet égard : «Yers l’époque dont
nous parlons,‘les harengs s’étaient multipliés dans; la Pal-
tique àtrun tel point qu’ils furent probablement , forcés
"de’ chercher une mer phis vaste pour .s’y «étendre; davantage.
Une bande ou„troupe de harengs indique toujours
1. Bock, Vetsitcheiner mHfiscîtàfihffâturg.,-1%’pi 625.
àd celle.* qui la suit le.-chemin qu’elle^oit^tçnir. Il arriva
qu’une-grandc p^rtie*dei|çes>'(poissons!>franchit le Sund et
fut rejoindre les radeaux de soi^espèejàtÉa^ionnésiijdans la
raiuer duplord. Skdépuis on n’a^p;%,..vu sé;r-é péter le même
événement, ejest qu’aujourd’hui on pêche dans la Baltique
p lu s s e harengs, qu’autrefoiss® Les, habitants côtes
savent maintenant saler et saurir ’CiSspoïs&Qfn,s.îitÇeuxrciine
peuvenfc.çkmc plus sly*multiplier en as%e*a^rand nombre
pour que de nouvelles migrations volontaires, fortuites ou
n écessaires^^ renouvèllent^comm^^n;-. 13 13^ N o^pLe,
la Moripièr-e pense que quelques annéesiajle pêche heureuse
sur les côtes, de^eanierfurent les causes de^sj^éril-ité
dont furent frappéesules mers dq- Pr ussqVl Fischer 1 cependant
invoque le témoignage d’autres, écrivains allemands
q ^ ilte ^ it ^très-digpns de foi . et il ; affirme que 4ç§, harengs
n’ont jamais émigré de la Baltique dans la mer du Nord,
parce.»qp.ie .-les^harengs se -aont- montrés? eonstamment et
eh mêmeîtempsiï dans l ’une et l’autre de jmers, Il
paraît cependant, d’après» Anderson, que la pêche dimi-
nua- sensiblementndepuis le quatorziènae.f^èclp^dans la
Baltique, »parce que alors tous Ie$ armements de la basse
Allemagne^se-firent par1 la Norwége ou la Seaq.i;|. Cependant
il observe que l’on pêchait encore du hareng à, Fal-
sterbo sur la Baltique et le long-, des côtesade. Poméranie
et de Livonie. -Wimari, dans sa description de la navigation
de la Baltique ,’.nite- Ealsterho comme étan^encqre
en l5^ de» siège et l’étape d’une pêche considérable du
hareng. D’autres litres^qtabhssent qu’en i<388.1es pêcheurs
1, Fischers Gesch.ydes deutschl. Handels, 1, p. 401.