espèce distincte. Elles entrent daps la ;h^ie;au.opmmen-
cement.du printemps,„et elles.,y restent pendant tout 1 été.
Les pêcheurs ne prennent pas^ge fretin •: ihabitud^Jprt
heureuse; c a r/sg en ÿait>autrement, on verrait diminuer
très-promptement et dune manière,seçsible leî ^ancs'du
hareng adulte. ,C om m e ts Blanches .sont très-abondantes
dansla b aÿ t? ellesî|rvent presque exclusivement, de;upur-
riture au sterna minuta, qui niche e^tresigra^dê.,quantité
à la pointe du Etûurdel. Q n . ^ h n M # ^ ^ ^
nichées* cë& petites hirondelles de m e r iS e n r^ ^ ^ ^ ^ p ît|
petite dupée dans le bec popr la pq^|ei;à leurs petits. Lpf
Blanches ou ces Hprenguets ne sont 4onc.qas_une^p|cfi
particulière, mais le frai de l’année preçe4ente qui^psî
re|té.snr la cote jusqu a,^je^. qu’il ait .atteint une.,,taiUie
assez, .considérable pour s’enfonce^ dans les, profondeurs
delîîqéjm^ d’où les individus ne sortirfonL;peptf.êf^que
lorsquîliauront.atteint leur entier déve^ppement et ,qu’i|§
seront en-,£t£§. de se reproduire.^/ ^ , « ^ ^^ ■ u f
Le Hareng n’exis,te_ que dans
lommence à devenir, .très-rare dans le-golfe de.Qaspogne;
je vpis, cependant que M. d’Orbigny la tro iiy ^ ^ -L a
Rochelle. ,Mais parmi les nombreux poissons que le Muséum
a reçu de çe jzélé correspondant, il ne sjest trouvé 2qunjï
seul individu. L’espèco/jest donc rare à, .eçt . endrp j.th;£)n
pourrait établir que^a Hmite g p g g g l’embopcJuire J e la
Loire; au delà il;n’y a plus que des individus
certain que l’pspèce n’existe pa£ nqn plus xjans la MécUfef-
r a n S II y a dans la mer Noire une espèçe particulière dont
on fait un grand commerce à Odessa. Cette, observation est
importante^ car elle explique comment Salviani n’a pas
parlé du Hareng. Belon qui a voyagé,,, comme on le sait,
dans le Levant,'a fàlt-connaître ‘fin plus grand nombre' de
poissons'-de la Méditerranée fque deflp' Manche.1 Qiioique
né'^W^NOrm^népîfil a^rthïi^tfièpnnwi^’Hareng, et SH a
appliquée ^010^^^:01^50^ à la^ârdin’e^idontil a donné
ùrfêvàss^fbonne1 figure. 11“dit que l’affinifëwdu Hareng et
de la Sardine le3feLiAgrâmiPe que l’on peut ahreine les distin-
guër'pàYle déssÉjl Il êst d’ailleurs^focilé dé'^oir, ed lisant
sën article, qu’il n’a parlfrdu Harigiag que dpplouvenir, et-
qu’il la-constamment Confondu avec la,4Sardinh, dp n’établissant
d’atitre différence ehtWcéVdeux espècesqùpéeMé
<IMa! grandeur.
Ro n dS® ^,d©hné,du Haréhf une figure quti beam
coup moins bonne que la plupaWdê&aiitre's'de^son ouvrage.
Ce qu’ifM a ‘d’imp ortantl dans son texte , ç est qu’il ’^etàbtît
déjà’d’une riianière pbsrtive que ïèfsj^ée du Hareng habité
seulement dans l’Océan, que1 ceux-là- se trompent;qui
croient a$hivvu - des* harengs dahMiifMédttè^|tnl.è^Ges
observateurs prennent, dit-il^pour ces derniers pefeiôns,
d’autres'espèces, désignées'' kousffèjîja om dé; Trattoe parvoe.
Cèlles-ci ressemblent tellement aux harengs et auxsardmes
qû’omp'eütiescconfondre faciléfiient. IlmaSt impossible.de
savoir ce quetcef ichthy-oiogiste,- si remarquable.^ our son
temps, appelle ainsi.
Gesner a 1 copie^ comme à/ sop^ordinaire , Rondelet et
Belon; mais dans son corollaire il ajoute qu’on se trompe,
en prenant ïë?“Sprat des Anglais pour un jeune-hareng,
et le Pilchard' p o u ri’^fè4 moyen ppüis il essaie de distinguer,
mais sans le caractériserun très-péfit poisson/de la
î . Bond , De irise, jliti •, p. 222.
2. Geslrfîy de 'aqiiat., p. 408'. -