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cettefi(ÿi'rd4^J^p'ê-,p|/âîfèe qu’il me, paraît que,quelques anatomistes
ÎHhviti^ÿâcrnfeÆmifnéJîmfeille aflyterne^inu p'oisson. Derrière cette
saï|He,* arrondie on.yoit qnMèÿit^rou qui d|>npe passage aux nerfs
-de la huitième paire, et,c|e|t'au^des|ps et au delà que l’on,,voit s’attacher'la
Mme inférieure du mastoidienf-qui porfi^tout l’appareil djgf
l’oreille inteiîne'fô^mrxie c5est>if ordinaire, dans les poissons-, 6 est en
arrière dhtiiifefela huitièfeef aire-efcâîîHàs.de lapeti-te crëtfedu basi-
1 ® le que l’on VAr ï%Wtnoh?-dîï' lip^ent de^H vessie.
■ Èîi ''décrivanr les parties extérieures, du poisson,Pnoüs avons
dëjàHMt*connaître"la plupart dés|î'oV de. la face. Nous^ajouterons
quey]é^ejàpWahet la^fckisse du tympan complètent au-devant du
préo'pereule, la grande arcade ptérygo^palatine. Le jugal est étroit et
triangulairej la^:a^se0unti?peti^cx)urbée en dedans, donne une
apophyse Iàmellair_qs.qtii vatrejoindreHle' corps du( sphénoïde.
La colonne, vertébrale sé'compo’se _de jeinqframe-ciriq vertèbres,
■ d|mf lès1'trente-troispremières portent <p|! côtes. 'De-ces vertèbres
abdominales les vingt-dfeùx premières ont leurs apophyses t-rans-
versës, ' écartées eü distantes l’une dé l’autre.. Les dix qui suivent
outres-^Iqyophyses réunies"par Une'JMdè^ôsSéuse, trânsverse, qui
-forjue’âous la colonne-vertébrale le commencement db ce conduit
annulaire, continué.sçnis1 les apophyses épineuses et inférieures des
vertèbres caudales*,',et qui logent l’aorte. «(|pmme les parois de ce
vaisseau, quoique très - mincesv sont assez fortement' adhérentes à
ces pètïîes-brides osseùses, j’ên ai profité'pour injecter facilement
le Système artériel dël’ hàrèügs, '-en faisant passer l’injection par le
conduit dès dernières vertèbres caudales.
Les côtes sont grêles ; les deux premières vertèbres n’en portent
pas, ide Js;Orte que je-n’eri1 compte que trente et une paires. Elles
sont- ty.ès-fines pht chacune d’elles-s’articule jpar spn ' extrémité
inférieure aux apophyse§is||loïd'es des os en y,- que nous avons déjà
fait connaître en- décrivante l£s» parties extérieures du poisson.
L’extrémité supérieure de la côté porte une longüe1 apophyse
.horizontale qui .commence ’cyftë.ysérie- des aretes du hareng. Cette
âpôphyse, articulée sur W vertèbres, devient un W distinct et
séparé le long des muscles de la queuè, chacune d’elles donne alors