C’est, sans contredit, l’espèeê-représenté.e dans Duhamel
1 sous le nom de Sardine des Antilles.
La description; qui y est jointe* confirme cette détermination.
Il la tenait,""comme célhfdu Cailleu, de.M. le
conseiller Barboteau, qui observe* que le poisson a JJ a
chair blanche, mais moins agréable quj^eellp/du Gaillen
( Harengula clupeola ) que sauvent elJLe es.j^n jette à
incommoder ou même à empoisonner *tes^ personnes qui
en mangent lorsque le poisson s’est- nourrj pendant quelque
temps de cette espèce de brûlant ou de fédérés,
zoophyt’es queïes zoologistes nomment Phys ale. M.-L’her-
minier fait la même remarque., en disant qu’elle .est venimeuse
dans tous les temps et quelle peut faire .périr en
quelques minutes. Ce médecin assure, %voir en^plqÿeÿvêç
succès J contre ses effets, l’hydrosulfure de potasse d’ammoniaque.'.
Ce§t d’après-les' documents ^fournis, par Duhamel
que M. -Cuvier a désigne.-cette espèeç. dans une
note du Règne animal, sous le nom de Glupea humeralis.
M. Ricord a envoyé ce même ptûsson de Saint-Domingue
avec une fni>te indiquant qu’il^y *est tr^Sr-Ç'stime,
ce qui ferait croire que le?Changement de pourriture
enlève à la.châif'se® qualités malfaisantes. L’espècé dail-
leurs"%?étê~'connhè beaucoup plus anciennement, ?car il
en existe une bpnne figure dans les'mànuscrits du P. Plumier.
Elle y est désignée, par cette phrase ; Sardina ame-
ricana èbc auro et argent eo variegata.
Il ne paraît pas que ce dessin fasse partie de la collection
conservée dans la bibliothèque royale de Berlin, car Bloch
n’en faftfeucune mention.
1. Dub. , Traité ’des-pêches', S* HC, pl."3Î;, fig. 4 , p . 548.
La HARÉÉtâEEE RACCOî1|RCIE.
^ S ^ a ren g u ^ 0 b le y ia ta \ n ob.
:• ouslfyiâÿpns lesjSspffefis' de|b|!<?genreKsavancer jusque
vers lès terres» aïüstrabes^l&’espèee que j’ai sousdf^yèux
a le1 co¥ps rassez -'la^gfe^è^-trapu.’ Sa' hàutâur‘hsh‘coTnprisé cinq »fois
èet quelque chose dans’ la lob^u'èu,ij'îfe>t^lë;’'ki>tète1 est un peu plus
coprte que la haùteur du ÇrùJiet.'Les denteiuresdu yentre spatîassez;
fortes. La dorsale, e^tpsintiledè l’avant; les yeutrales|cqj5r,ëspond1ent
au‘cinquième rayon; ^fes, «p e et p ralgsi ;|pn t ppinfu^^lk» caudale est
profondément fpurchue. .
D. 19 pète.
La» êopleuiL est bleuâtre%uf p ram b é f o m t s ; re( reste eSi argente.
La dorsale àfqumoir^F^rémitéme^premiefs! raÿbn‘s, V
, clbdall^st^grfee—,fC,
-de ‘pojlsQn, long^djq Tiùit p p u ^ ^ ÿ ^ e t ê ’enybyé' dÆ||:
Nouvelle-Hollande par M. J - .Y ’erseâux.
La HARENOrate:(TPpPfCTUEE.
{flareg.gula'pwmtata, nob.)
Kous; jfou voWaussi ^^msup^mersffe r in l jru n e haren-
gule dont les ventrales réponuem à peu p y è ^ h milieu "Sê
la'dorsale jLèt q u i, nar s0jMriàes;^ ppelle tout ^{*aït les
blanquettes d e^^ S'cotes.
T .a hauteur dulCQjpS .un meu plushîùurte, que la t to . ■ est ,c ©m-
prise cinqfpig.dans,la longueur ‘tgtale. Quand la bouche ^st*fermée
, Fe museau pàrairpqintu. Les dénis* sont exliéhiéineiit bues ;
les dentelurds^ïï vèhlrêsdm^iîs^f^ du chevron
^son'tHfès'Mèüîtës. Les éfeM’lles'n’önt que trois* ou quatrê;siries.
l à i É ^ y 'A . 16.