fournir les bourgs- royaux avant q u ed èsp tran g ers pussent
s’en approvisionneWAiiderson reconnaît liïrnitilité de *nes
ordohnArréès., et démontre que! cette -j alousieidés*É)GO&sais
ne fut préjtrdïfîiaMe 'q^’iPeù^mêmes; Les Hollandais1 Achetaien
t to u t le hareng^foars %t salé ,> qu’ils venaient chercher
avèc d e -^ o s^ b â tim e n ts. Les villes d e 4a cote efÉcossé
^enrichissaient e n te n d a n t immédiatement le p ro d u it *dè
leurs vlp ê^h eS^LoTd o n n an cep en changeant* cet ordre ide
É f ^ H d’âu tfe effet quesde^Talentir Vardeur po u r
lap'êéhfe! Letgquverhement Essaya ^bieli d^premédier ; car
on voit qu ’il exigeca par de&*aï$ès~de ^ r ^ q u e les (barques
de pêchetfussent au moins de vingt tonneaux.
*Pout‘? bateau fournissait à la couronne? une ïfce&taine
quantité de poisson quf formait une-partie dé-son retenu.
L f^ p b ttio n |8 P B W S fut-prise *à ferme par la famille
d’Argÿïl. Elle exerçait ace titre mne juridiction qui's’étendait
depuis le,?Firth de^Pentland jusqu’au Mull de Gallo-
w^ÿf et cdmprenait-ee qu’on appelle la peche des He b rides .
A cette'époqüè lespé&hetirs anglais'trouvant plus déco-
m m m acheter des ^Hollandaisfla phïSigfàirde pArtre^dse
’fèur poisson',5- fais^ient^ume pêehé^fort eourte et-sne
mettaient'en jmer qu’un bien-petit nombre débarqués;
Les ordonnâttëès d’Édouard IV eü* 1482’et dé'Henri VII
en rendues-pour régler le baJiffagèdu hareng,
mais' rhéstprobable que les troubles intérieurs qui^déplèrent
alorsda Grande-Bretagne, su spendirentd’exécutrôn
d e fp ro je ts qu’afaîêh t fait naître le sb e so in s ded’ecônomie
maritime. il éSt-certain qifa cette- époque f a pêche anglaise
était p eu * active ;--ev cependant il é c o u le ïéeildngs
1. Knbx Ÿ Ÿieffiàf ffiè emp:, 214-.
intervalles entredes« açtes publies? «ginanés du gouvernement.
Henri <VIII est -obligé? depremulguer un aéte du
parlement en 154^ , ^ù^bjesuformelloment énoncé que
lés? Anglais a va^e nâ^c on tr a et 4 la^mauvaiso habitude de se
mettrepnpier^sâns filet| et d’aHer .directement acheter du
poissopj frais4à«j bord des bâtiiheqtszflamancb ou français»
Maisê.’à partir de eetleï*-époque jusqu’en > 1 le,s règles
ments se/snpcédèrenfe pour;remédier aux^abus qui se passaient^
surtout àftYarmo uthuLes^mp-yens ne paraissant pas
encore. assez coercitifs| la religion fut appelée? à l’aide de
la politique, ainsi que le prouvent les sta tuts d’Édouard VI,
qui*se plaint de »oe qu’on violait l’abstinence, de la chair,
etiqui ajoutait:,;qu’en prescrivant de faire maigre les jours
ordonnés par l’Église? il se ferait que p lu s grand e, 'Consommation
de poisson ?%ne qui donnerait plus d’activité à
la pêche: Cette pensée^ fut*?si bien^celle des rcâs#;d’Angleterre
, qu’Élisabeth; s’avisa^dlétablir un carême politique.
Le but ostensible était\la- conservation des,bestiaux;.mais
le véritable était d’augmenter lp nombre'-; des hommes de
mer, afin de -s’assurer une marine. D’ailleu.rs,.les écrivains
anglais se piaignent.qu’ài©ette époque la pêehe*était presque
tout entière èntre les mains des étrangers.
Les : Hollandais, à la- faveur d’anciens, traités, venaient
toujours dérober aux cotes d’Angleterre la meilleure' partie
du poisson., tandis que les Espagnols, en vertu » de
quelques concessions obtenues de la reine Marie par Philippe
II, épuisaient les côtes septentrionales»dé:l’Irlande
et Jes environs de Jersey -et »de Guernesey.
Les divers règlements prohibitifs, publiés dans le cours
des deux sièges précédents, n’avaient pas eu le succès que
les souverains de l’Écosse s’en étaient promis. Jacques V