CHAPi I. HARENGS. 23
audacieux qu’infatigable.Le commerce le répand,conservé
païîës préparations que l’homme salfS’Iui faire subir, dans
presque toutesl’és partifs du inondé. Pardon inépuisable'
fécondité lé Hareng est une de 'ces productions1 naturelles
dont l’emploi îfcomme le dit ^ . tdqXiàn^pèae, décide de la
d$stinjé?e empirer La graine{!d,u eaféiçr, la,(feuille du
thé, les>épi>eês de la, ZrOne(itorride,1e ver qui file la soie,
ont moins' influé'^ur les^riehesses des eatioasbqué le ha3?eng
dë l’Ocëâ’ü septentrional. Le lnxe' fou le, caprice demandent
les pféMiérsj lè bê^btn’ réclame le second. La pêché
cfocé'pbissoti fait partir chaque année des oôtës de France,
de Hollande, d’Angleterre, des nottes nombreuses'pour
allpr chercher dap^ le sein;,çj.\iue mer orageuse*' la moisson
abondance, ç$,,as$uçée que .ses, légions innombrable présentent
à la courageuse activité de ce$-peuples. Les grands
politiques, lé# plus habiles* économistes ont/ vu dans la
pêche du harenglâ/ 'plus importantendes expéditions ma-
ritiihés^ 41s l’ont sümomméelà'grande pêcher Elle forme
des hommes robustes, des hiarins intrépides, des navigateurs
expérimentés. L’industrie qui! s’empare d ê l,produits
de pes p êch es3 ait en fgqr.e ,l’objet d’un Bqmmercey source
de richesses! inépuisables. ;p|p%$^nft d’examiner ce que
ce$r grandes entreprises » peuvent procurer dp bien-être à
l’homme1,' il est naturel de commencer, par^décrire scien-
tifiqueniént utf poisson qiie tout île monde cdnnaîty mâi|
que bien peu ont étudié. 1 "
Les diverses proportions duhareUgvarâent selon les individus
que l’on examine, suivant les saisons. En les prenant d’abord .suides
harengs pleins, on trouve qu’un mâle a la ligne du profil supérieur
trèsrpeuConvexe jicafie du .au. épntraire tuut à .{ait
concave; la hauteur fait le cinquième de la longueur totale ;q.’ab à.