formés par l’entre-<#biilemeiit ; deÇÿéilfeêàux diyëî&effiént'
colorés, oïl par une*4 agglomération fortuite;de pôints pig—
mentaireé.4 0
Les mon tàgnârd# î^iëèsSâii I d?aù.très sùp ëfstidbfW
touchant la disjî&fi:tio<n; subite • dés harengs^ En parlant-de
Skÿè, ils disent que , Sf|' xpëur*^6
rèodlreÎ!dë l’au trecô téd é l’îlfe, il o’enj;iiut pas dâ?v£fet^e
poursIffifë
Meihdirè! 4sùr dè^^l^e^dÉ^SërdMkiâ, què toutes 4te& fois
qùë l’on -laisse dans 'les baiës;'déSf%tna’s de haretfg* épié
Foh irâ pu safér dt cjùi tombent bièntqt ëù jiùtré&ctidnj
lestùdèaux décèé pôissbns, cha®§ës%ri!?' douté par la mauvaise
odeur, èôht sbiivënt plusieurs %nnéës -isëns ;revenir ù
la même placé j mâisVLëùvènhoeek) sëül me parai^dire %
vérimble^cause des change monts de plâéë dës%àreug&|ÿ’ëst
qùW mesure que les poissdns'grandissent^ le besëim #u%ë
iteùrfitüre plus abondante leSdoree a chercher dé§ fonds
où il y ait plus dàlimentSi-Gés disparitions d u haren|psôht
tantôt passagères , làùtôÉ ellès durent plusieurs s
Knox1 dit que, depuis*r ÿ83 jusqu ëÙii 790 j lé Loeh \Brdomf
en Écossé, à éprouvé la^àlatnké d’être privé:'dé harengs.
Ce : poisson qui së montre à Dohnegàl, en Irlande, dès
réqüindxé d’automnë, n y fit SOn apparition, ^ëè?¥}Êtfi épre
plusieurs jdtirs aprè§ le %dlstieë d ’hiver»
La pêche du harertg d’aUtopnt'ne manqua totalement en
Nordlànd en 1796. Bloch2 disait- ù'eéttè occasion^ qu’oii
n’a pu ehcoire découvrir la émisé pour laquelle lê hareng
s’est porté plus au nord que de-'coutume pendant une 1
1. Kiçw ef tto p,-,2.20. t
2’. Blocï/, S ‘c)knft.Jnmüïf. Fr., Y, p. 358.
dizaine d’années.. Il ajoute qu’on ne peut prëtendiedjuè
c’esÆ l’absence^’de? nourriture sur les côtes méridionales de
la Suède^à-causésde la quantité que lui en fournissent les
fonderies pour extraire Fhuile des barengs dansce pays.
trPennafit aidait* djg§'. remarquer semblables sur Ies|éôtes
d^Écossô^Ainsi^ertaine&«Haies que l’on •regardait dëïson
temps' .comme^de.-grands rendez-vous des hârengs^évaient'
été dësertes. autrefois f|pt ils -n’y-étaient guères* revenus
quer depuis ^environ quarante ans. Il ajoute que -tous les
v.Iâçtôhsfde'la lisière des côtes d’Écossë ou des îles', sont tour
autour fréquentés par lesdiarengs? Celle qui en regorge pendant
une:saison^gs& exposée ;a n’en pasvoir un seul l’année
suivante, bien,que-tous les Lochs voisins en voient âbbn-
damment-pourvus. Pendant plusieurs années le hareng a
abandonné le Loch Tongue,jet il n’y a reparu qu’en 1777;
if adéserté sur la même côte le Loch Garron ; depuis 1782
il n’y* a plus reparu. Lllè de Man, si rénommée' ^ar ses’
pêches* n’a-pas,; été à l’abri de craindre une pareille pri-
'Vfpdon-v. LachevereiL observe , 'qu’au commencement du
seipème-siède d’île de Man n’eut point de pêche du hareng;
Les côtes:de l’ouest de l’Angleterre ont offert le même
tableau.
Pennant affirme que les harengs«quittèrent autrefois les
passages de Cardigan, et*se portèrent de préférence sur lesfonds
desi'comtés. de Flint et de Cærnarvon, qu’ils ont
abandonnés après quelques années pour reprendre leur ancienne
station. On sait aussi que, dans l’hiver de 1740, les
harengs ^s’éloignèrent des* côtes du Sutherland et n’y revinrent
qu’en 1776. L’Irlande, qui voit terrir le hareng
pendant les trois mois d’automne, fut privée de ce poisson
en 1784« On croit avôir remarqué en Irlande que, quand
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