bords lihré- tputm ^t^coo«OT.^\tI«sySî^<fôriiiei|t une rainure
dans laquelle ^.trouvent, çachés presque « t entfer.>? derniers
rayons. L’anale e^très-basse ; la caudale estïourchue;, les ventrales
et les pectorales petites : elles onft( dans leur ^aisselle des écailles relevées,
qui forment aussi une petite caréné sous laquelle elles peuvent
s’appliquer.
B. 6; D. 20; A. 20; C. 25; P. 16; V. 8.
1 “Les'écailles sont serrées"« fortementimÉriqüëes;’la portion fa-
dicàle^est de bèatfcôup plus grande quela porti'oiPlibTe ;1 sa fsuî¥ace
*a (ÿiatTefouf'einq fôÿÉeé ^StrieS v e r tick lésle bbrd>ilibtfeî et^ftAngé ;
le milieu fait une saïfliè
r .ïSest .verdâtrejsur le, dos avec quelques reflets .dpr^^les ,flaqcs, Je
ventre et les operçulea spnt. argentés à reflets ifi^és .«.jpacréq^ La
t! carène, du ventrex se (compose, defoièces assez larges, très-jfortement
imbriquçq^ .„.eq ,qe..donnant en aj|yière qu’une pointe E^our,te , :peu
s ^ ^ t q . ^ q r t e iquçjla dentelure.du P#s au
J jtg>ct qu’elle çC®st,fe^ a apercevoir.
nent c{p la1 co^te de Malabar, d’ou ils ont ete rappQri.es par
M. Dussumipr. ,
l '# p u s , trouvons dans les notes.jd^ c,e vtç^ageur.*queÿQe
poâssanjîdesign© sous le mom de Sardine, jfsïjfdrt, 1
s®à goût «st & peu p rè slem êm eq u e celui de la sardine
dü^oife de Gïïsfeogné; l’espèce», indienne' estî'oependant
maibs gfàssè. De passage sur la côté tajâïabarë'pendant la
mouron du N. E., elle y ëst‘ tres-âbondante’ ëy,séïJr a 'ali-
meMer^^pauvres Indiens; ils en obtiennent^ pour la pâleur
,<|’|in jf qq, une jquaptjte; spffisarite ,ppnr;q30|^r||pïfti^ te
leur îaniilk, .en y »êljiutjdu rizVÎQn prétend qpfc-P^S»8-
son contribue .fejeéitcoup; à;faire naître les .maladif Cutanées
qui tourmentent les. habitants pauvreS-et malheureux
de cette côte.L’abondançe de cette sardine, pourrait offrir
dés ressources pour la mauvaise-lsâison ; “si les Indiens savaient
la préparer de manière à la conserver comme nous
le faisons en Europe; mais ils ne savent pas la préparer,
payée que le1 èorpjs est trop gras pour être séché, et qu’ils
n’ont pas. les moyens de le priver de son huile.
Il est, à-remarquer que cp poisson, qui arrive périodiquement
et -régulièrement sur la c ô t é . ja manqué deux
saisons de suite vers' 1822 etli823. Ç’est ee que, nous
observons sur nos côtes pour les harengs et nos sardines.
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