"L’esprqt 'a le corps .allongé;--sa hauteur Régale-,à tè longueur* de.
la tête, est du Ginquièmeiÿlê 15 longueur totale. La*têie, plus longue
et plus-pointue que celle de la blanquette, est^'aussi beaucoup
.. plus étroite*. Je'ne.vois\aûcune -veine ni aùcuné/strie'sur l’operr’
.culeuni-sur les autres,pièces/de laHoue. L|oeil ruêsure à peu près
le tiers de la longuelh de la tête1! La ventrale'répond au premier
ray oh d ë'i la * d o rsâlé. L’&riate' esl- petite, et-ïbasse. -La caudale^ est
fouiféh^r-La mem‘brâffe*branchiosrègè est soutenue par* sept raybnà?
vÆa fente de*l’ouïe ës'tlàrgêV arrondie et sans^échancrüre.' -
_ B. 1 ; D. 18f?Æ*28| P.. lV;'V.• 7 ;v C. 2 5 ^ ’
*<Les^ écaillés W ^ ^ ^ ^ p e \^ S ^ â d i^ e s ^T e -v e n tre e s i''JW n tïh a n t |
. assezîfortement derffôlétîll y#al trente-'fcrÔis 5chey r on§^épineiM*pour
f^mer/sa ‘ctfrène,, Le«doS est d’im bleu-^eillkre^Nàrg^^Ih/.r^ej,
du corps*est • blanc^et pillant.
Nos exemplaires m o n t1 que;troi|j|>oüc^ÿe" f o n p ^
N ou» v^yoris'fcfe p o iso n ,^TéPcommun ^ 1 ^ 1 es mers
du Nord H sur \e£:ëffîès d’S n g k te f^ ^ ^ jd isp e rsg p dài&j
la Manche.et s’avancer sur hoVcôtes pcêlfÊntales ue Fraùfce
jusqua_ la^Roc^elle;' ’ *
^ ÿ ^ ip r em ië t < ati|eur ^ s tém a tiq ü é jt qui ait $ S 3 ^ 3 u'ner
description''■recôntiàisàÿDle di^l'E^pro|pLest Artedi. Il le
comparait au h a r ^ | ^ S f 4 sûlVdist|^^^
caractères le ll plu.#- cert’al^s^fcêlui denses quafante.*|huit
verïèWé^tandis quêtfe b'irjng'en a.cinquanTë-six?È^prot
est la quatfièm ^ëspt^e*|de * ClujM'a danC-.sa^ sy nOtiÿrîfie.^1
C’est d’apjêe s^ ttë dèst^iptibn qu e Linn e^ d ’ab OTdfd^nè1
' le Faunarsueciéa,% puis,dans le ^ sjtem a katùroe jusqu’à
la d o u zièm é d i t i o n , a" établi. son Clupeu^jjrcitus} e^pèce.^
qk^ Pennant è-Vû^^SServ^e^ m ^ que Bloch a Me, suite
1 • 1 , 7 4 I 2. taun. suïc.pn° 316.
falsifiée en y ajoutanLuné^s.yno’nymie entièrement fautive,
et dans'dàquelle il a*%ëimi l'es Mëpm^«les plus disparates
et de pâÿsMè3-;plus élqignes. Ori voity'Sn effet, que Bloch
confond ensemble le Breitling, le Sprat, qui au moins
ssont du même .gënrèVfel la Sardine dj| Frâircê^ qui, étant
priyéé; de^djents , ,e |ï-d ’un ajifré..; J^jsuis daüléursySpn-
vainGu que .les,? différdn|i;^s< .'signaIê(dàMans; s’a description
pour servir à distinguer le sspTat^df^1 je-unel'harert^s'', ’sont
copiées' d’Artedi- Qüant figure Mï‘d&la planche 3 1
def cette grande Ic h th ^ lô g îe ',^ p v ^ p p ê u t ’faUssi’la citer
qu’avëh beauedup de doute,ucal^felle ^st^trqs-mauvàise, et
elle ne remplit .pas les lacunes que le texte a laissées.
Il faut.'cependant remarquer que^Bloch^,fait peindre
le longdes .flancs ,une h ghS jaunâtre. O c ^upus/^yens; vu* d e's
sprats- dansMa^hai^rdu 'HâyEè £au snêfis davril^. qui- o n ^ ;:
cette époque, le long de^Snancs, une bandelettô-d’une
belle* rcouleur dMJ1^
- M. Laurillard a fait les memèsiMbseryations,1' et il a eu
la bonté de me donner un ;depin sur^fequel ËâÉtë ligne*
est parfaitement ieprésqntée.’ Toutefois je , remarquerai
que j’ai vu des spratstè Eîieppe et à-Boulogne pendant
les mois d’août, et d^Septembre, <et aucun individu û!li^
vait de ligne *do|^e. Il paraîtraiLdonc quelle peut s’effacer
comme tant d’autres|hb|^rations paSsa^fetèllque l’on peut
observer sur différentes|jp^èçj6s, de poissons.
L a H aré^ oÙue ' cEpPÉo le.
, (Harengtrfq chxpeola^.nob.l
Nous avons rëçu.de la Martinique plüsieurs^espèces de
harengules que des . colons ^yf'èOnfondent so-us le nom de
Sardines des Antilles.'
20. ü