qui se perpétuent par voie.-de generation. On .attribuera
sans' d o u t é e s différences dé taille^rinfluence^hinate-
riqué/éxpli'cation trè^vague, quoiqu’ellé semble: satisfaire
d’abord l’esprit, q u iis f coiitehté souvèùt d’urfe* repobse .
péri M M i elle ne — 1 la H ^ M |
éôriSeles difficultés du problème, on voit notre ignorance
d’un pbénomène>aussi extraordinaire dégpisÇpar lmeet-
titude de ce grand mot. Gommant concevoir, en-effëtf que
par làv seule ïnBuëne^du climat* la nourriture assimilée
d-ans la nutrition intime par ?té!e*pîante, hiif-fâssep ^ m
un développement considérable dans une-région, etpster
petite ÿS rkborigtié dans^telle autre, où cependant j g |-
J M B B développé?sës-’organes 4&u rëproduçtioùtet
' où elle remplit, comme l’a u ig , fes mêmes pMs#€e|çOh^'
dirions vitalés'^ns' atteindre jamais à la rnôm^grandeuri
Nous voyonslordinairement les individus dun animal
devenir souvent de plus en plus p e t it s ^ nfejrire- quils
Avancent de nos climats plus chauds vers l e s t o n s polaire^
Dans l’e s p è r e s Harengs ^ e s t un phénomène
invét'sevLe poiàb^est plus gMnd auprès
que dans nos mers qui baignent nos -côtes -plùStëmpeFéesi
M phénomène- éetoblable^a lieu chez;les fbpaçées dans
lé règne végétal, les laminaires décroissent eÈ? avançant du
pôle vers-mds* côtes_ où la température est* plus doucëMl
semble que la nature se préparera fiairè&dispara^tre* ces
espèces en s’approchant eùcore des régions plus méridion
a l^ Ces phénomènes'tiennent aux lois inconnues'de là
fixité^ et de la : distribution des ëspèêës- sur la surface de
la terre. Danfces'expériences que la nature-nous montre
toutes faites, nous trouvons la preuve que Thomme peut
quelquefois, par son industrie, transporter momentanément^
Ç&r^jiinçs^pè^§4|l^|^ qu’iln e^ eu tlg s établirândér
finiment dans Jçsdf Çaütés où la nature nç les a pâs.^éées.
J’ai porté nionvatt^nti;on sur cê^nombrepx petits poissons
dont la,.longueur i varie depuis trois pouces jusqu a six et
qui sésiV(|udèîït; sur-nOS; marchés de Dieppe^de, Gaen,
d’Abbe:^p|id^.Calais.,^sgq^ j.ës nqms de Harénfp^les- et
de BianGla§t^ Quoique les réunions de ces petites dupées
soient forieéiÇ&iide plusieurs ^çsjj^ee^jonfondué.s pu mal
déterminép^meme p a rje%#$^%^ r^>#itec0nnu Parmi
elles, en examinant Jeurs dpnts, les, jaunes de liesq^e^du
hareng commun. Les fpgtits*^pqisspns que M. .Bâillon nous
a ■ envoyés jwsous le nom de Blanches,, de la paie de la
SoniEue, '£t qui y qjullùlent 'pen^^it les mojs de juin et de
juillet^ ont la dentition, et le nopibre - dés? vertèbres, ; du
hareng adulte.. O n ,ne .peut d ^ G\ s||>;ïefuser ■ ^|jé^re,garder
çQinmedeijëunesïharengs. J’ai r,eJ^ouvéJes m ê m es ;Caça c ||r es
sundSputits. harengùets, envoyés aussi pendant l’été de
Qaen par M. LamourQux j ils ^ablissept que ceux-c?n£,sont
certainement que les* jeunes du ;hareng. M- Eudqs, Deslong-
champs, professeur à laJacultç dp^sçiences .de cette ville,
a euaussi l’obligeanceide 'm’enVoyer.uécëminenl ej.^ ma
prière une quantité/.consid érable de l^sypetits harengùets.
Dans c.& grand nombre de poissons, jj/5 n’ai trouvé qu’un e"
seule petite b e le tte ,. tous, les autres,paient de l!e§pèjce|' du
hareng, pe savant professeur a été. aidé dans ces nouvelles
recherches^par. Mi le dg.ct£ur fourneaux. Je.me' fais un
dévoir de donner ,ày©£s amis des s,cieipçé|tle témoignage
de ma gratitude.-Je suis* obligé d’insister sur ces déterminations,
parce, que je trouve dans les notes que M. Bâillon
me transméttaifÿun. m’envoyant des Blanches du Grotoi,
que les pêcheurs de la . côte les regardaient comme d’une: